[No-Gi-Ba] Le souverain de l'Unique

[No-Gi-Ba]

I.Le Souverain de L'Unique

Il y a de ça 653 ans après la mort du roi Sauron nacquit un prince. Celui était le fils de Jevas, nouveau roi du Mordor, qui succéda à Sauron. Ce prince s’apelait Gédon. Dès sa naissance, le bébé avait déjà un corps robuste digne d’un prince du Mordor. Jévas quand à lui était vieux et très faible, il fallu vite quelqu’un pour le succédé sur le trône. Dans la dynastie du Roi Jevas, on remarqua une chose, Jevas tout comme Gédon avaient tout deux un creux situé sur l’avant bras droit, et le creux que Jévas comme celui de Gédon étaient identiques. La forme du creux étaient très net. On distinguait les courbes qui se dessinaient et qui formaient une sorte d’épée. Cela vous parait-t-il bizarre ? On peut croire une multitude de chose à ce sujet là , mais laissez moi vous raconté l’histoire d’une légende perdu à jamais.

chap1: la légende.

On raconte, qu’il eut une guerre enter le Gondor et le Mordor, Jévas y avait participé ils dirigeait l’armée du Mordor ; on lui avait mis une armure en mythril doré avec des gants en peaux de dragons qui luisait à chaque coup que portait Jévas à son adversaire. On-dit aussi qu’il y avait une épée en fer forgée, incassable naturellement, qui pouvait même traversé les écaille d’un dragon. Mais l’armée du Gondor était térifié non pas, par tout de ce que je viens de fous énumérer, mais par l’objet introduis dans l’avant bras de Jévas. Cet objet on l’appelait l’Unique. Avant la mort de Sauron, ce dernier avait forgé en cachette cet objet dans les cavernes de Cavenains, pour y déposer tous ces pouvoirs et une partie de son âme. Frodon avait neutralisé l’anneau de pouvoir dans la montagne du destin. Une paie e l’âme Sauron ne vivait plus mais l’autre partie coulait encore dans les entrailles de l’Unique. Quand Jévas portait l’Unique, il était incontrôlable. Son pouvoir était immense. Il se déchaînait, faisant voler les têtes quatre par quatre, rasant tout sur son passage. Ca y est, le sang de Sauron coule dans les veines de Jévas. La seule manière de lui ce pouvoir était de lui ôter l’Unique. Mais lors, un soldat du Gondor, inconnue des autres soldats sorti de la méllée, brandit son épée au ciel pour couper le bras de Jévas. Ce dernier se retourna et ne le vit pas venir se fit couper le bras. Il avait perdu. On lui avait séparer l’Unique et se retrouvant sans défense.
Il se retira de la bataille pour aller dans la tour tu Mordor : Simanguail. L’Unique était perdu dans les décombre de la bataille sur la terre du Milieu. Le Gondor était revenu en vainqueur avec une certaine quiétude. Mais le Mordor, eux, était sans défense, non pas par le manque de soldat mais pour la perte de l’objet qui constituait le royaume à lui seul : L’Unique

chap2 la decouverte.

Un elfe de Fondcombe veillait sur les Terres du Milieu pour voir si il y aurait un conflit.Cet elfe ce prénommait Birmas. Il était assez grand avec de longs cheveux bruns, qui tombait sur ces épaules et qui coulait le long de son dos. Ce jour là, il était habillé de soie blanche avec un ceinturon en or. Sage en lui-même, il s’avait parlé à la foule tout en restant le plus calme possible. Il était accompagné de son étalon : Vimanum. Il galopait dans la plaine, lorsqu’il aperçut une montagne de mort gisant sur le sol tous éparpillé. L’un était fait planté d’une flèche dans le cœur, l’autre n’avait plus de tête, des personnes étaient déchiré en deux dont le corps s’était vidé de son sang. Cette guerre était terrifiante et barbare. Un bras gisait seul sur un rocher. Ce bras était ganté et un bout d’armure était encore resté sur l’avant bras. Un objet était disposé sur le bras.
_Mais quelle est cet chose qui brille sur ce bras.
Birmas s’approcha attentivement et le regarda plus attentivement, il vit un diamant incorporé au bras. On aurait dit que Birmas était attiré par l pouvoir de l’Unique. Ses yeux luisait de terreur, il en bavait, lorsqu’il prononça c’est quelques mots :
_Quelle est cet objet…. Mon précieux….
Birmas sursauta ; il abusait trop du bijou que lui apportait l’âme de Sauron. Mais il ne put succomber aux charmes de l’Unique.
L’elfe prit sa dague et ôta l’Unique du bras de Jévas. Lors de son retour à Fondcombe, il repensa pourquoi il eut prononcé les phrases de Gollum. Il rentra à Fondcombe. Cette charmante cité était cachée dans la forêt de Grigus se trouvant l’Est de la terre du Milieu. On y trouvait de grandes maisons en hauteur qui dissimulaient de belles colonnes dorées. Tous les habitants de Fondcombe étaient des elfes, enfin la plupart. Certain étaient nain ou encore Mizandrique. Les elfes étaient une grande personne avec des oreilles partant en pointe. La plupart des elfes étaient blonds à part ceux qui ont pour père un gobelin. Ils étaient de très bons archers. Ils se promènent constamment en longue robe de soie blanche ou noire. Birmas fut enfin rentré à son domicile. Il décida d’aller chercher le mettre des lieux, Shinrius, pour aller lui parler de l’unique. Il le trouva devant une cascade.
_Shinrius, je voudrai te parler d’un sujet très important.
_Qu’y a-t-il mon jeune Brimas qu’est ce qui te tracasse ?
_Dans les terres du Milieu, à la limite entre le Mordor et le Gondor, il y eut une guerre entre ces deux royaumes. Dans les décombre de cette bataille, j’eus trouvé un objet scintillant. Je le pris dans mes mains et l’âme de cet objet m’avait comme encerclé. Je prononcé les mots que Gollum, lorsqu’il eut trouvé l’anneau. Tiens prend le dans tes mains et dit moi ce que tu vois. Shinrius voulu s’approché de l’Unique, mais il y avait quelque chose qui le perturbais.
_Je décèle un grand pouvoir dans cet objet, il me rappelle celui d’une autre personne morte depuis déjà 5 siècles. Je ne citerai pas son nom en ces lieux.
Désolé Birmas je ne peut m’en approcher plus. Attends ! J’entends une voix qui résonne dans ma tête «Mon précieux, je ne m’en séparerai jamais, jamais, jamais…! » Birmas, jette cet objet hors de la comté de Fondcombe, un aussi dangereux pouvoir pourrait être dangereux pour notre cité.
Birmas alla au porte de la ville et monta sur le dos de Vimanum et parta déposer l’unique dans un lieux sûr, là ou personne ne se souciera de rien : La comté des hobbies. Birmas arriva en ces lieux jeta l’Unique dans l’étang de la comté. Une personne sortit de la broussaille qui entourait l’étang. Ce dernier était Terlon, Fils de pêcheur et très réputée dans la Comté pour son très bon poisson.
_Il faut dire que ce n’est pas tout les jours que l’on voit un elfe se promener dans la Comté se disait Terlon, ce jeune pêcheur. Lorsque l’elfle fut parti, Terlon décida d’aller voir ce qui se dissimule sous les rochers de ce fameux étang. Il plongea et ressorti avec cet objet. Cela lui à fait un choc de le tenir dans se mains. Il ne l’imaginait pas si lourd. Terlon le regardais comme si c’était un trésor alors que ce n’est qu’un simple bout de pierre qui brille.
_Qu’est ce qu’il est beau…Il est Unique…
Un paysan qui habitait sur les rives de l’étang interpella Terlon.
_Terlon que fait-tu il se fait tard, des fungus risquerait d’arriver. Les fungus était de gros crapaud carnivore pouvant manger de tout et de n’importe quoi.
_Oui je m’empresse. Tu as raison il se fait tard, j’arrive !
Terlon quitta l’étang à la tombée de la nuit laissant derrière lui les fungus mais gardant précieusement l’Unique.
Le soleil se coucha sur le comté ainsi que sur les collines et montagnes de la Terre du milieu.

Du côté du Mordor. Dans la tour de cette plaine si sombre et noir qui portait le nom de Mi’ihmen, se trouvait Jévas souffrant allonger sur son lit en train de blâmer le ciel de l’avoir châtié car il eut perdu un membre et aussi son chère et précieux objet qui et scintille de tout c’est éclat. Jévas se releva de son lit et se précipita dans la salle où siège son trône. Deux gardes étaient restés dans la salle du trône pour veiller à ce que tout se passe pour le mieux. Jévas tendi la main pour les faire venir.
_Vous deux, venez, approcher.
_Qu’y a –t-il mon maître ?
_Lors de la bataille contre le Gondor, un homme est surgit de la mêlée et m’a coupé le bras ; ce qui fait que l’Unique n’est plus ici. Allez sur les lieux de la rencontre et rapportez moi l’Unique ainsi que mon Bras ! Partez à cheval et si dans les prochaine heure je ne vous revoie pas, je vous jetterai à manger au virazole, vous savez c’est grands vautours qui écartèlent leur proie pour manger les boyaux.
_Oui mon maître. Nous y allions sur le faite.
Les deux gardes exécuta l’ordre de Jévas et partirent sur les lieux de cette guerre atroce. Lorsque les sbires du furent arrivé sur les lieux, ils commencèrent à fouiller de partout dans le seul espoir de retrouver le bras de leur maître. Il était déjà tard dans la nuit, les deux soldats n’avaient que leur torcher pour se servir d’éclairage. Uns des soldats du Mordor s’approcha d’un tas de mort.
_Regarde ! Là-bas, haut dessus de ce cadavre, on dirait un morceau de bras.
Le soldat s’approcha du bras et le prit à pleines mains.
_C’est le bras de Jévas, je le reconnais, il n’y a que lui qui possède ce genre de gants. Attente ! Regarde, L’Unique…n’est plus là ! Cherchons, il n’a pas pu aller bien loin.
Les soldats s’empressèrent de chercher l’Unique, tandis que ce dernier errait bien tranquillement dans les poches d’un jeune hobbit du pays de bouc. Les gardes perdit espoir et s’assis pour se reposer.
_Je suppose que l’Unique à été ôter du bras suggéra l’un des gardes.
_Je pense que tu as raison, après tout je ne vois pas comment un objet pourrait s’envoler, répondit l’autre.
Les soldats était très embarrassé de ne peut trouver l’unique. Chaque seconde qui suivirent, il repensait comment les vizaroles allaient les manger. Ils en tremblaient.
Mais au même moment, le seigneur Jévas se plaignait de sa blessure au bras droit. Il redoutait les gardes de ne pas rapporter l’Unique. Cela était certainement l’objet dont il a le plus tenu lors de sa vie. Il tenait plus à l’Unique qu’à son fils Gédon. D'ailleurs il ne pouvait plus compter sur sa femme, qui, cette dernière, est morte lors de l’accouchement de son fils. Jévas était comme encerclés à cause de l’Unique. Il entendait tout le temps une voix dans sa tête qui résonnait ; Il ne pouvait jamais cesser ses phrases :

Seul la personne possédant l’Unique pourra me libérer. Me ramener dans les grottes de Cavenains sera fatale. Jévas, libère-moi, libère-moi…libère-moi !!!

A ce moment là les portes claquèrent. Une personne voulait entrer.
_Quel est ce vacarme ? Que l’on fasse entrer ces insolents.
Les gardes ouvrirent les portes. Une chaînée d’Uruk-Haï entra en grand nombre dans la salle du trône.
_Mais, que se passe-t-il ? s’exclama Jévas.
Un porte parole Uruk-Haï différents des autres exposa la situation.
_Jévas, nous en avons plus qu’assez d’obéir à tes ordres, nous voulons un Meilleur roi au Mordor. Nous ne voulons plus que toi. Descend de ce trône, et tu aura la vie sauve, affirma l’uruk-haï.
_Espèce d’insolant, comment ose-tu t’adresser a ton roi ??? Gardes !! Que l’on mettent ces revolant au cachot.
Une ribanbelle d’Orques se précipita sur les Uruk-Haï et brandit leur épée pour les faire avancer. Mais les uruk-Haï se révoltèrent, ils sortirent leur dagues et épées et se battirent contre les l’armées du Roi. Les orques ne faisaient pas le poids conter de redoutable Uruk-Haï. On apercevait déjà que la garde de Jéva n’était pas assez forte et corpulente, mais par contre, Jévas avait d’excellents archers. L’un des uruk-haï fut blesser à l’épaule mais il repoussait les limites de sa mort et il continuait à ceux battre. A la fin il ne restait plus que Jévas seul avec son épée à l main. Il attendit que les uruk-haï se jetaient sur lui pour se battre. Les gardes qui étaient parti pour retrouver l’unique et blâmèrent de toutes leurs forces en ouvrant les portes de la salle du trône.
_Désolé notre maître, nous n’avons trouvé l’Unique. S’il vous plaît ne nous jetez pas au vizaroles. Nous n’avons pas envie de mourir comme cela. Nous vous en prions, ne nous tuer pas. L’unique a été ôté de son bras. S’il vous plaît soyer clément… répétaient-ils.
Les Uruk Haï se retournaient pour voir ce qu’il se passait.
L’un des deux soldats leva les yeux au ciel, et s’exclama :
_Qui sont ces personnes ?
L’un des Uruk Haï se rapprocha d’eux et affirma :
_Nous somme ta mort, et il leur trancha la tête d’un coup sec. Il se retourna vers Jévas et lui dit pour la seconde fois
_Je te laisse encore une chance, laisse moi le royaume du Mordor et je te laisse la vie sauve.
_Non je me battrai pour le royaume jusqu’à la mort, répondit Jévas.
L’un d’eux s’élança sur Jévas mais le chef ‘arrêta par le bras et rajouta.
_ Je te lance le défie de te battre contre moi, si tu me tue, tu pourra garder le royaume, mais si je u perds tu devras succomber a tes blessures et me voir devenir roi du Mordor a ta place. Jévas était mal en point. Il était dur déjà pour lui de le battre car il lui manquait un membre et il lui manquait aussi son précieux Unique.
Jévas s’élança dans la bataille malheureusement l’uruk-haï avait déjà préparer son coup pour Jévas. IL le blessat à l’épaule mais même étant blesser Jévas continuait encore de se battre. Il se reprit un coup d’épée qui transperça son ventre. Jévas tomba au sol. IL s’était agenouillé, toucha son ventre dont le sang coulait le long de son corps. Il s’exprima pour la dernière fois :
_Cel ne peut-être possible.
L’uruk-Haï s’approcha pour porter le coup de grâce.
_J’ai gagner, tu as perdu. Je suis le nouveau roi du Mordor
_Mon fils me vengera…
Jévas se fit couper la tête. Cette dernière roula contre la porte qui la stoppa. L’uruk-haï se posa sur le trône et affirma :
_Moi Démane, fils de Enée, batisseur de la cité uruk-haï sur les ruine de l’Isengard , je me proclame Roi du Mordor et du peuple de Orques, gobelin et autres…
Le groupe d’Uruk-haï qui se trouvait sur les lieux, crièrent de toute leur forces pour acclamer leur nouveau roi.
L’une des courtisanes du roi était à la porte pour écouter les clameurs de leur nouveau roi. Cette dernière était posté a cette endroit depuis que la meute se mit à crier.
_Il faut que je protège l’enfant, il faut que je l’amène ne lieux sur, se répétait-elle.
La courtisanne courut aller chercher le bébé dans le berceau, prit un voila et l’enroula autours de Gédon. Elle prit une trappe se trouvant sous un tapis de la salle à coucher du roi. Ce passage secret débouchait sur les ecuris qui acceuillait des cheveaux sauvage des plaine du Rohan. Tout deux pris un cheval et se dirigea en direction de l’ouest vers Isictaum, la ville sainte. Plusieurs heures s’écoulèrent jusqu'à un jour ou ils s’arretèrent pour faire une trêve dans les forêts à la limite du Village de Gulista. Ils ne purent entrer dans le village car il ne possèdaient pas d’argent sur eux pour se payer les soins qu’offrait l’auberge de la ville. Donc il s’arretèrent dans la forêt de Breewood. La courtisanne déposa Gédon au pied d’un arbre et dit :
_Ne tinquiète pas mon petit Gédon, tout ira bien lorque je t’aurai trouver un abri pour te loger, mais pour linstant, il faut que je te trouve de la nourriture car tu doit mourir de faim. Je reviens ne t’inquiète pas…
Gédon la regardait avec un regard vide . Comme sil il ne l’écoutait pas. La courtisanne partie dans les bois cueillir des champignons. Tout d’un coup une orne de sangliers à cornes noires fit son apparition et dévala les pente des la forêt. La femme n’eut le temps de s’enlever et se fit emporter et pétiner par ces animaux. Gédon inquiet que la courtisanne ne revienne pas, se mit a à pleurer de toute ses larmes. Les hurlements était tellement fort qu’on arriva a les entendre jusqu’au village de Gulista. Une personne entra dans la forêt , son visage était caché par l’ombre, on remarquait qu’il était assez petit de taille, et lorsque son visage fut enfin éclairer par la lune, nous reconûmes Terlon. Il était venu jusqu'à Gulista pour vendre le marchandise qu’il avait récolter au pays de Bouc. Terlon fit une halte et écouta autour de lui.
_Quelle sont ces hurlements, ils viennent de la forêt. Un bébé… oui c’est un bébé, et il est en danger !
Terlon courut en direction de la forêt et aperçu un fungus s’approcher du bébé. La bête vu Terlon arrivé. Le fungus courat en direction du jeune Hobbit. Ce dernier sorti sa dague et son arc. L’animal se jeta sur Terlon, qui lui, lui décocha une flèche au niveau du cou et le poignarda. Le fungus, bléssé, s’enfuiya. Terlon s’approcha du bébé. La courtisane avair veillé a préparer une lettre si elle aurai obliger de l’abandonner pour une raison quelqu’oncque. Il était écrit sur la lettre :

[Linkgoku]

No-gi-bo .... , ton texte et bien le scenario et bien , mais ... il est un peu cour aux autre ^^ voila.

[No-Gi-Ba]

lol si tu regarde bien il y a ecrit chap 1er ce qui veut dire qu'il y en a pas qu'un je les fait au fur et a mesure car jai ecrit un livre et je vais lediter il fait 267 page donc voila je te met la suite la si tu veut

[squall 69]

no-gi-ba ta fic est pas mal... meme si au début l'histoire copie bcp le seigneur des anneaux... un objet précieux qui donne du pouvoir maléfique o a déja vu ca... mais la fin change pas mal c bien... ca serai classe que tu mette la suite de ta fics en ligne...