Mon poème dédié à Aerith
Publié : 20 nov. 2004 20:46
Trop surprise, elle n'a même pas crié.
Sereinement agenouillée
Elle se savait condamnée
Et pourtant elle n'a rien fait
Pour la sauvegarde de la planète elle priait
Devant ceux qui l'aimaient elle s'est sacrifiée
Quand masamune l'a frappée, elle est tombée
La bouche entrouverte, les yeux écarquillés
Je m'suis précipité pour la rattraper
Quand pour jouer il l'a transpercée.
Jamais je n’oublierai
car j'ai le coeur brisé
Et ce sourire cynique et amusé qu'il m'a lancé
Quand il a retiré son masamune ensanglanté
Une tache sur sa robe lentement s'est étalée
Pendant que de son corps la vie se retirait
Je n'ai même pas senti mes larmes couler
Impuissant face à la mort de mon aimée
Je n'ai pu que le regarder
Lui qui de mon échec riait
Jamais je n’oublierai
car j'ai le coeur brisé.
J'avais l'impression qu'une partie de moi se perdait
tandis que je la voyais au fond du lac couler
Ses cheveux au sol se sont étalés.
Quelques minutes après je m’élançais
A la poursuite de l'homme tout de noir capé.
Et à présent que son corps gît à mes pieds
Que le monde est sauvé
que nous avons gagné
Les bonheurs de la vie me sont étrangers
Car son esprit toujours hante mes pensées
Je l'aimais, je sais
Elle est morte avant l'âge,
comme une fleur, un présage
Je l'aimais, je sais
La calamité nous a séparés
Et seule la mort pourra nous rapprocher
dites ce que vous en pensez
Sereinement agenouillée
Elle se savait condamnée
Et pourtant elle n'a rien fait
Pour la sauvegarde de la planète elle priait
Devant ceux qui l'aimaient elle s'est sacrifiée
Quand masamune l'a frappée, elle est tombée
La bouche entrouverte, les yeux écarquillés
Je m'suis précipité pour la rattraper
Quand pour jouer il l'a transpercée.
Jamais je n’oublierai
car j'ai le coeur brisé
Et ce sourire cynique et amusé qu'il m'a lancé
Quand il a retiré son masamune ensanglanté
Une tache sur sa robe lentement s'est étalée
Pendant que de son corps la vie se retirait
Je n'ai même pas senti mes larmes couler
Impuissant face à la mort de mon aimée
Je n'ai pu que le regarder
Lui qui de mon échec riait
Jamais je n’oublierai
car j'ai le coeur brisé.
J'avais l'impression qu'une partie de moi se perdait
tandis que je la voyais au fond du lac couler
Ses cheveux au sol se sont étalés.
Quelques minutes après je m’élançais
A la poursuite de l'homme tout de noir capé.
Et à présent que son corps gît à mes pieds
Que le monde est sauvé
que nous avons gagné
Les bonheurs de la vie me sont étrangers
Car son esprit toujours hante mes pensées
Je l'aimais, je sais
Elle est morte avant l'âge,
comme une fleur, un présage
Je l'aimais, je sais
La calamité nous a séparés
Et seule la mort pourra nous rapprocher
dites ce que vous en pensez