Paragraphes
Publié : 12 mars 2005 20:36
bon, j'le dit direct hein... c'est pas, mais alors po du tout une fic ^^
mais comme ça reste du texte... jvais le mettre ici... donc si ça va po, supprimer le topic hein ^^
donc mon truc, c'est d'écrire des sortes de paragraphes plus ou moins longs, n'ayant aucun ou presque pas de rapports entre eux... vous pouvez y voir ce que vous voulez dans les sous-entendus... enfin bref, et pour être vachement original, j'ai appelé l'ensemble "Paragraphes" (mais quelle imagination! ^^)
voilà, donc je les mets par tranche de 4 ou 5... bonne lecture ^^
ah ouais, pis oubliez po les comments hein ^^, zaime bien...lol
Vivant mais mort, le vagabond erre seul en quête d’exil. Tel l’ermite qui le hante depuis sa rédemption. Il s’est retiré depuis le fleuve de la mort où ses forces se sont épuisées. Il garde ses souvenirs ave lui, tel une Bible, mais prêche pourtant si peu…
Le dieu descendu si bas, ne ressent plus que haine et tristesse. Si souvent aux aguets, il était poursuivit par lui-même. Si ses fidèles l’ont aujourd’hui quittés c’est non par faute de croyance mais par peur d’hécatombe…
Le bois se mouille du sang de la joie. Les heureux se sont tus, mais leur chef reste et espère toujours, les vies entre ses mains, il continu sa route espérant et neutre…
Le regret est éternel mais la douleur ne l'est pas. Après avoir nager dans le fleuve où je ne suis pas seul, je ne comprends toujours pas ce que je fais là. Peut être que je poursuis une chose lointaine hors de l'eau, alors que je suis condamné a rester noyé jusqu'a ce que j'arrête : le poids sera retiré de mon pied. En essayant de détacher mon poids je remarque une autre personne, nageant pour la même chose que moi. Je lui crie d'arrêter, il ne m'écoute pas, il continu sa route, inexorable, tel que j'étais quelque minutes avant, je le vois soupirer, la chose qu'il poursuivait l'a échappé, il enlève son poids, moi je remet le mien et je continue de nager au fond de l'eau.
Les yeux se sont fermés sur le silence, après une longue recherche, le noir est venu tirant les souvenirs avec lui. Toute la vie restante, tachée par le sang attendra que d'autres vies la suivent. Si peu pour se purifier, si peu pour se faire pardonner, si peu pour exister...
mais comme ça reste du texte... jvais le mettre ici... donc si ça va po, supprimer le topic hein ^^
donc mon truc, c'est d'écrire des sortes de paragraphes plus ou moins longs, n'ayant aucun ou presque pas de rapports entre eux... vous pouvez y voir ce que vous voulez dans les sous-entendus... enfin bref, et pour être vachement original, j'ai appelé l'ensemble "Paragraphes" (mais quelle imagination! ^^)
voilà, donc je les mets par tranche de 4 ou 5... bonne lecture ^^
ah ouais, pis oubliez po les comments hein ^^, zaime bien...lol
Vivant mais mort, le vagabond erre seul en quête d’exil. Tel l’ermite qui le hante depuis sa rédemption. Il s’est retiré depuis le fleuve de la mort où ses forces se sont épuisées. Il garde ses souvenirs ave lui, tel une Bible, mais prêche pourtant si peu…
Le dieu descendu si bas, ne ressent plus que haine et tristesse. Si souvent aux aguets, il était poursuivit par lui-même. Si ses fidèles l’ont aujourd’hui quittés c’est non par faute de croyance mais par peur d’hécatombe…
Le bois se mouille du sang de la joie. Les heureux se sont tus, mais leur chef reste et espère toujours, les vies entre ses mains, il continu sa route espérant et neutre…
Le regret est éternel mais la douleur ne l'est pas. Après avoir nager dans le fleuve où je ne suis pas seul, je ne comprends toujours pas ce que je fais là. Peut être que je poursuis une chose lointaine hors de l'eau, alors que je suis condamné a rester noyé jusqu'a ce que j'arrête : le poids sera retiré de mon pied. En essayant de détacher mon poids je remarque une autre personne, nageant pour la même chose que moi. Je lui crie d'arrêter, il ne m'écoute pas, il continu sa route, inexorable, tel que j'étais quelque minutes avant, je le vois soupirer, la chose qu'il poursuivait l'a échappé, il enlève son poids, moi je remet le mien et je continue de nager au fond de l'eau.
Les yeux se sont fermés sur le silence, après une longue recherche, le noir est venu tirant les souvenirs avec lui. Toute la vie restante, tachée par le sang attendra que d'autres vies la suivent. Si peu pour se purifier, si peu pour se faire pardonner, si peu pour exister...