Une légende éternelle...
Publié : 05 avr. 2006 3:07
Prologue : Une légende éternelle...
- Hein.....quoi.....mais....NON STOP !
C'est à ce moment précis que le sommeil de Lanks prit fin. Depuis déjà quelques semaines, il ne faisait que faire d'étranges rêves qui se révélaient être, parfois, d'horribles cauchemars. Il n'avait pas osé en parler à ses parents, de peur qu'ils en fassent un drâme et qu'il apellent la garde nationale au grand complet. Ce matin la, pourtant, ce rêve lui sembla totalement différent des autres qu'il lui avaient été donné de faire. Il était si....réel ! Auparavant, les scènes qui défilaient dans sa petite tête sous coups de ''flash'' suivit d'un bruissement aigüs ne prenait pas autant d'empleur et ne lui faisaient pas autant mal. Lorsqu'il ouvrit enfin les yeux, Khy regarda encore un moment le plafond qui affichait encore l'image en noir et blanc du dernier visage que son rêve lui avait montré. Un étrange homme dont le visage lui était inconnu mais avec une gemme quasi-invisilbe plantée au centre de son front. Grâce à ses mains encore chaudes de tout ce stress, Khy frotta ses yeux afin d'éliminer cette image du haut de sa tête. Il détourna soudain son regard vers le cadran sur sa table de chevet non loin de lui et, voyant l'heure qui était affiché, 7h00 du matin, il ôta lentement la couverture verte et douce qui le recouvrait, ce laissant ainsi à la froideur matinale de l'hiver, puis décida de se lever. Jamais il avait ressenti une telle douleur à la tête que lorsqu'il fit le premier pas vers la chaise où se trouvait ses vêtements, tellement, qu'il se précipita sur le dossier de celle-ci pour être certain de ne pas en tombé contre terre. Ce qu'il redoutait le plus arriva malheureusement ; une horrible image lui parvint à la tête, encore sous forme de ''flash'' toujours accompagné d'un son aigü. Il appuya aussitot sa main sur son front, espérant ainsi faire disparaitre cette quelqu'onque anomalie. Heureusement, lorsque la voie de sa mère surgit soudainement de l'encadrement de sa porte, tout redevint normal.
- ....Quesse qui ce passe ?! Ça n'a pas l'air d'aller mon grand ?!
- Non, non....ne t'en fait pas pour moi maman, tout va bien simplement un léger mal de tête qui m'affaiblit drôlement...
- Peut être devrai-tu rester à la maison aujourd'hui, pour te reposer encore un peut ?!
- Non, non je t'assure que tout va bien aller et de toute façon, on n'a examen d'anglais aujourd'hui.
- Si tu le dis, je te fait confiance mais si jamais tu sens le besoin de revenir ici, n'hésite pas une seconde, d'accord ?!
- Jurer....jurer !
Après lui avoir affiché le plus beau et complaisant des sourires qui soit, la mère de Lanks s'effaca de l'encadrement pour redescendre les nombreuses marches d'escalier d'un peut vieillit par l'âge de la maison. Lanks enfila ses vêtements, prit son sac à dos puis descendit rapidement les marches à son tour. Lorsqu'il arriva dans la cuisine, le petit déjeuner était déjà servit, à croire qu'avec les années, sa mère avait appris par coeur chaque met qu'il préférait à chaques matins. Son père se trouvait aussi là, juste assis droit devant la place qui lui était destiné comme à tout les jours, lisant avec beaucoup d'intérêt le journal des dernières nouvelles du jour, ne semblant même pas avoir remarqué l'arrivée soudaine de son fils. Lanks pris place et lanca un petit bonjour joyeux à son père en espérant recevoir une réponse mais, rien ne sortit de sa bouche, ce qui n'était pas nouveau, d'ailleur. Achevant les oeufs de Lanks, sa mère lui lança un regard désespéré tout en ajoutant, aux toasts et au bacon chaudement préparés, les deux oeufs qui paraissaient aphrodisiaquement succulent. Il n'en prit pas beaucoup de temps avant que Lanks ait terminé son assiette. Il se leva aussitot, adosant son manteau et prenant son sac à dos pour le mettre sur ses épaules, avant d'aller donner un baiser à sa mère qui lui souhaita une bonne journée. Lorsqu'il franchit le seuil de la porte d'entrée, il put entendre encore une des nombreuses chicanes entre ses deux parents puis il ferma la porte tellement fort que les deux sursautèrent.
- Enfin l'air libre.....
Ce dit-il tout en entamant le chemin vers son école secondaire qui se trouvait juste à quelques trottoirs de chez lui. La ville semblait si calme ce matin là, pour une fois depuis les deux dernière semaines. La neige recouvrant les automobiles et la route environnante était si blanche de pûretée que les yeux de Lanks ne purent pas la fixée bien longuement. Le chant de quelques oiseaux encore dans les arbres malgré le petit vent frisquet qui soufflait fit apparaitre sur le visage de Lanks un sourire qu'il était rare, c'est temps-ci, de voir. Au coin du premier trottoir, il rencontra une vieille dâme nommée Gladice, il la voyait à tout les matins et elle parraisait toujours aussi jeune et resplandisante que voila 20 ans, maintenant agée de 70 ans. Lorsqu'il passa prêt d'elle, il lui proposa son aide pour qu'elle puisse descendre, sans danger, la petite bute de neige juste devant eux. En guise de remerciement, elle lui donna quelques petits bonbons que Lanks appréciait bien et il continua sa route. Presque qu'arrivé à mi-chemin du deuxième et dernier trottoir, Lanks vit ses deux meilleurs amis, Helena et Marc, lui faisant signe de l'attendre. Ils le rejoignirent et il firent le restant du chemin jusqu'à l'école ensemble. Quelques minutes plus tard, alors qu'il discutait dans la cour d'école, Lanks entendit la cloche sonnée et entra dans la salle de classe de son premier cours qui était l'anglais. Une fois tout les élèves assis, la professeure ne se tarda pas avant de distribuer les fiches d'examens du module fraichement terminé. En voyant les questions du test, Lanks eut un léger sourire en coin. Tout cela lui semblait si facile, il avait toujours eut une préférence pour cette matière. La professeure donna alors le signal de déapart, jetant un dernier coup d'oeil pour s'assurer qu'aucun petit trichard regardait la copie de son voisin, donnant ainsi le signal de commencer l'examen. Lanks s'y attaqua aussitot, convaincu que ce test en serait encore un de réussit mais, il était loin de se douter de ce qui allait lui arriver dans les minutes qui suivirent. Alors que son mal de tête du matin semblait l'avoir abandonné, Lanks ressentit soudainement une si horrible douleur à la tête qu'il en lacha son crayon pour placer ses deux mains sur celle-ci. La douleur était telle qu'il croyait que quelqu'un venait de le frapper avec un marteau sur le dessus de la tête.
Une multitudes de ''flash'' avec des images indéchiffrables défilèrent dans sa tête, comme si s'en était pas assé de touet cette horrible douleur. N'en pouvant plus et s'écoulant de sueur, Lanks tomba par terre, entre les rangées, à genoux, et cria de toutes ses forces avant de perdre connaissance. La professeure, affolée, le coucha sur le dos et le frappa doucement au visage pour tenter de le faire revenir à lui mais, sans espoir. Elle cria à l'un des élèves d'aller avertir le directeur et de demander urgament les parents de Lanks ainsi que les ambulances. Ce qu'il fit ! Quelques minutes plus tard, alors que le corps inerte de Lanks se trouvait encore par terre, la tête sous un coussin, les parents de Lanks surgirent dans la classe. Sa mère se rua sur lui, en pleurs et remplie d'épouvante suivie juste de par derrière de son père qui n'affichait qu'un simple visage de courage, espérant ainsi calmer la jeune mère. Les ambulanciers ne se firent pas attendre et aussitot arrivés, il embarquèrent Lanks et partirent rapidement en direction de l'hopital en compagnie de ses parents. Le panneau annoncant les urgences devenait de plus en plus gros et soudain, l'ambulance se stoppa. Une porte coulisante s'ouvrit et une jeune femme en sortie, attendant derrière que les ambulanciers aient sortit le jeune Lanks de celle-ci. Elle leur fit signe de l'amené dans la salle d'opération et s'attaqua aussitot à ses signes vitaux qui, heureusement, étaient encore intacts. Elle vérifia aussi ses yeux qui semblaient ne plus avoir d'iris et ses oreilles puis se détourna vers les parents de Lanks, un visage attristé....
- Je crains le pire pour votre fils....ses signes vitaux son intacts mais l'étrange allure qu'on ses yeux sous ses paupières fermées n'envisages rien de bon....
- Quesse qu'ils ont, ses yeuxdemanda la mère de Lanks, encore tout en pleurs et prise par les évènements...
- Eh bien, je ne voudrais pas me prononcer trop rapidement mais....je n'arrive plus à apercevoir leur iris...ce qui signifit qu'il subit surement une crise qu'il m'est, malheureusement, impossible d'identifier et qui le pousse à tomber dans un pronfond et peut être long côma...
- Combien de temps cela va-t-il durer ?! Son état risque-t-il de se détérioré ?!annonca son père, tout aussi affolé....
- Je ne peut pas vous répondre, Monsieur. Seul le temps nous le diera....pour l'instant, tout est stable mais, un côma peut durer des jours, des semaines, des mois ou mêmes des années avant de se rétablir. Pour son état, seul aussi le temps nous le diera....je suis désolé de ne pouvoir vous en dire plus et sachez que nous veilleront sur lui minutes sur minutes pour être sur et certain que rien ne lui enlèvera la vie.....
La mère de Lanks c'était approché de lui, appuyant son front contre sa joue tiède. Des larmes perlaient encore de ses yeux rouges par le piquotement de celles-ci. Elle placa sa main sur le coeur de son fils et lui dit avec un tont alarmé et confiant....
- Soit fort et je t'en prit....reviens nous vite.....maman ne veut pas que tu parte......je ne veut pas te perdre.....
- Aller, Lucia, il faut laisser le Dre. Alice l'emporter dans la salle où il étudieront son cas....soit fort mon fils...et soit certain que nous seront à ton chevet aussi souvent que les médecins nous le permettront.....
Il s'était réveillé enfin, son père. Mais pourquoi fallait-il donc qu'un tel évènement arrive pour qu'il s'apercoive de l'existence de son fils ? Après les aurevoirs émouvants, le docteur pris la civière et amena Lanks dans la salle de supervision cômatique. Elle fit le strict nécessaire pour être certaine que rien ne pourrait lui enlever la vie puis elle sortie finalement de la salle, le laissanr seul, sans conscience et sans mouvements....
Cependant, alors que la vie semblait s'être arrêter autour de Lanks et de ceux qui l'aimait, quelque chose se trâmait encore en dedans de sa tête.....toutes les images horribles et parfois étranges de ses rêves semblaient avoir été fusionnés et remis au départ.....comme si, pour se sortir de se côma, Lanks devait accomplir quelque chose à l'intérieur de ses rêves.....quelque chose qui lui sauverait la vie.....
- Hein.....quoi.....mais....NON STOP !
C'est à ce moment précis que le sommeil de Lanks prit fin. Depuis déjà quelques semaines, il ne faisait que faire d'étranges rêves qui se révélaient être, parfois, d'horribles cauchemars. Il n'avait pas osé en parler à ses parents, de peur qu'ils en fassent un drâme et qu'il apellent la garde nationale au grand complet. Ce matin la, pourtant, ce rêve lui sembla totalement différent des autres qu'il lui avaient été donné de faire. Il était si....réel ! Auparavant, les scènes qui défilaient dans sa petite tête sous coups de ''flash'' suivit d'un bruissement aigüs ne prenait pas autant d'empleur et ne lui faisaient pas autant mal. Lorsqu'il ouvrit enfin les yeux, Khy regarda encore un moment le plafond qui affichait encore l'image en noir et blanc du dernier visage que son rêve lui avait montré. Un étrange homme dont le visage lui était inconnu mais avec une gemme quasi-invisilbe plantée au centre de son front. Grâce à ses mains encore chaudes de tout ce stress, Khy frotta ses yeux afin d'éliminer cette image du haut de sa tête. Il détourna soudain son regard vers le cadran sur sa table de chevet non loin de lui et, voyant l'heure qui était affiché, 7h00 du matin, il ôta lentement la couverture verte et douce qui le recouvrait, ce laissant ainsi à la froideur matinale de l'hiver, puis décida de se lever. Jamais il avait ressenti une telle douleur à la tête que lorsqu'il fit le premier pas vers la chaise où se trouvait ses vêtements, tellement, qu'il se précipita sur le dossier de celle-ci pour être certain de ne pas en tombé contre terre. Ce qu'il redoutait le plus arriva malheureusement ; une horrible image lui parvint à la tête, encore sous forme de ''flash'' toujours accompagné d'un son aigü. Il appuya aussitot sa main sur son front, espérant ainsi faire disparaitre cette quelqu'onque anomalie. Heureusement, lorsque la voie de sa mère surgit soudainement de l'encadrement de sa porte, tout redevint normal.
- ....Quesse qui ce passe ?! Ça n'a pas l'air d'aller mon grand ?!
- Non, non....ne t'en fait pas pour moi maman, tout va bien simplement un léger mal de tête qui m'affaiblit drôlement...
- Peut être devrai-tu rester à la maison aujourd'hui, pour te reposer encore un peut ?!
- Non, non je t'assure que tout va bien aller et de toute façon, on n'a examen d'anglais aujourd'hui.
- Si tu le dis, je te fait confiance mais si jamais tu sens le besoin de revenir ici, n'hésite pas une seconde, d'accord ?!
- Jurer....jurer !
Après lui avoir affiché le plus beau et complaisant des sourires qui soit, la mère de Lanks s'effaca de l'encadrement pour redescendre les nombreuses marches d'escalier d'un peut vieillit par l'âge de la maison. Lanks enfila ses vêtements, prit son sac à dos puis descendit rapidement les marches à son tour. Lorsqu'il arriva dans la cuisine, le petit déjeuner était déjà servit, à croire qu'avec les années, sa mère avait appris par coeur chaque met qu'il préférait à chaques matins. Son père se trouvait aussi là, juste assis droit devant la place qui lui était destiné comme à tout les jours, lisant avec beaucoup d'intérêt le journal des dernières nouvelles du jour, ne semblant même pas avoir remarqué l'arrivée soudaine de son fils. Lanks pris place et lanca un petit bonjour joyeux à son père en espérant recevoir une réponse mais, rien ne sortit de sa bouche, ce qui n'était pas nouveau, d'ailleur. Achevant les oeufs de Lanks, sa mère lui lança un regard désespéré tout en ajoutant, aux toasts et au bacon chaudement préparés, les deux oeufs qui paraissaient aphrodisiaquement succulent. Il n'en prit pas beaucoup de temps avant que Lanks ait terminé son assiette. Il se leva aussitot, adosant son manteau et prenant son sac à dos pour le mettre sur ses épaules, avant d'aller donner un baiser à sa mère qui lui souhaita une bonne journée. Lorsqu'il franchit le seuil de la porte d'entrée, il put entendre encore une des nombreuses chicanes entre ses deux parents puis il ferma la porte tellement fort que les deux sursautèrent.
- Enfin l'air libre.....
Ce dit-il tout en entamant le chemin vers son école secondaire qui se trouvait juste à quelques trottoirs de chez lui. La ville semblait si calme ce matin là, pour une fois depuis les deux dernière semaines. La neige recouvrant les automobiles et la route environnante était si blanche de pûretée que les yeux de Lanks ne purent pas la fixée bien longuement. Le chant de quelques oiseaux encore dans les arbres malgré le petit vent frisquet qui soufflait fit apparaitre sur le visage de Lanks un sourire qu'il était rare, c'est temps-ci, de voir. Au coin du premier trottoir, il rencontra une vieille dâme nommée Gladice, il la voyait à tout les matins et elle parraisait toujours aussi jeune et resplandisante que voila 20 ans, maintenant agée de 70 ans. Lorsqu'il passa prêt d'elle, il lui proposa son aide pour qu'elle puisse descendre, sans danger, la petite bute de neige juste devant eux. En guise de remerciement, elle lui donna quelques petits bonbons que Lanks appréciait bien et il continua sa route. Presque qu'arrivé à mi-chemin du deuxième et dernier trottoir, Lanks vit ses deux meilleurs amis, Helena et Marc, lui faisant signe de l'attendre. Ils le rejoignirent et il firent le restant du chemin jusqu'à l'école ensemble. Quelques minutes plus tard, alors qu'il discutait dans la cour d'école, Lanks entendit la cloche sonnée et entra dans la salle de classe de son premier cours qui était l'anglais. Une fois tout les élèves assis, la professeure ne se tarda pas avant de distribuer les fiches d'examens du module fraichement terminé. En voyant les questions du test, Lanks eut un léger sourire en coin. Tout cela lui semblait si facile, il avait toujours eut une préférence pour cette matière. La professeure donna alors le signal de déapart, jetant un dernier coup d'oeil pour s'assurer qu'aucun petit trichard regardait la copie de son voisin, donnant ainsi le signal de commencer l'examen. Lanks s'y attaqua aussitot, convaincu que ce test en serait encore un de réussit mais, il était loin de se douter de ce qui allait lui arriver dans les minutes qui suivirent. Alors que son mal de tête du matin semblait l'avoir abandonné, Lanks ressentit soudainement une si horrible douleur à la tête qu'il en lacha son crayon pour placer ses deux mains sur celle-ci. La douleur était telle qu'il croyait que quelqu'un venait de le frapper avec un marteau sur le dessus de la tête.
Une multitudes de ''flash'' avec des images indéchiffrables défilèrent dans sa tête, comme si s'en était pas assé de touet cette horrible douleur. N'en pouvant plus et s'écoulant de sueur, Lanks tomba par terre, entre les rangées, à genoux, et cria de toutes ses forces avant de perdre connaissance. La professeure, affolée, le coucha sur le dos et le frappa doucement au visage pour tenter de le faire revenir à lui mais, sans espoir. Elle cria à l'un des élèves d'aller avertir le directeur et de demander urgament les parents de Lanks ainsi que les ambulances. Ce qu'il fit ! Quelques minutes plus tard, alors que le corps inerte de Lanks se trouvait encore par terre, la tête sous un coussin, les parents de Lanks surgirent dans la classe. Sa mère se rua sur lui, en pleurs et remplie d'épouvante suivie juste de par derrière de son père qui n'affichait qu'un simple visage de courage, espérant ainsi calmer la jeune mère. Les ambulanciers ne se firent pas attendre et aussitot arrivés, il embarquèrent Lanks et partirent rapidement en direction de l'hopital en compagnie de ses parents. Le panneau annoncant les urgences devenait de plus en plus gros et soudain, l'ambulance se stoppa. Une porte coulisante s'ouvrit et une jeune femme en sortie, attendant derrière que les ambulanciers aient sortit le jeune Lanks de celle-ci. Elle leur fit signe de l'amené dans la salle d'opération et s'attaqua aussitot à ses signes vitaux qui, heureusement, étaient encore intacts. Elle vérifia aussi ses yeux qui semblaient ne plus avoir d'iris et ses oreilles puis se détourna vers les parents de Lanks, un visage attristé....
- Je crains le pire pour votre fils....ses signes vitaux son intacts mais l'étrange allure qu'on ses yeux sous ses paupières fermées n'envisages rien de bon....
- Quesse qu'ils ont, ses yeuxdemanda la mère de Lanks, encore tout en pleurs et prise par les évènements...
- Eh bien, je ne voudrais pas me prononcer trop rapidement mais....je n'arrive plus à apercevoir leur iris...ce qui signifit qu'il subit surement une crise qu'il m'est, malheureusement, impossible d'identifier et qui le pousse à tomber dans un pronfond et peut être long côma...
- Combien de temps cela va-t-il durer ?! Son état risque-t-il de se détérioré ?!annonca son père, tout aussi affolé....
- Je ne peut pas vous répondre, Monsieur. Seul le temps nous le diera....pour l'instant, tout est stable mais, un côma peut durer des jours, des semaines, des mois ou mêmes des années avant de se rétablir. Pour son état, seul aussi le temps nous le diera....je suis désolé de ne pouvoir vous en dire plus et sachez que nous veilleront sur lui minutes sur minutes pour être sur et certain que rien ne lui enlèvera la vie.....
La mère de Lanks c'était approché de lui, appuyant son front contre sa joue tiède. Des larmes perlaient encore de ses yeux rouges par le piquotement de celles-ci. Elle placa sa main sur le coeur de son fils et lui dit avec un tont alarmé et confiant....
- Soit fort et je t'en prit....reviens nous vite.....maman ne veut pas que tu parte......je ne veut pas te perdre.....
- Aller, Lucia, il faut laisser le Dre. Alice l'emporter dans la salle où il étudieront son cas....soit fort mon fils...et soit certain que nous seront à ton chevet aussi souvent que les médecins nous le permettront.....
Il s'était réveillé enfin, son père. Mais pourquoi fallait-il donc qu'un tel évènement arrive pour qu'il s'apercoive de l'existence de son fils ? Après les aurevoirs émouvants, le docteur pris la civière et amena Lanks dans la salle de supervision cômatique. Elle fit le strict nécessaire pour être certaine que rien ne pourrait lui enlever la vie puis elle sortie finalement de la salle, le laissanr seul, sans conscience et sans mouvements....
Cependant, alors que la vie semblait s'être arrêter autour de Lanks et de ceux qui l'aimait, quelque chose se trâmait encore en dedans de sa tête.....toutes les images horribles et parfois étranges de ses rêves semblaient avoir été fusionnés et remis au départ.....comme si, pour se sortir de se côma, Lanks devait accomplir quelque chose à l'intérieur de ses rêves.....quelque chose qui lui sauverait la vie.....