
J'ai l'honneur de vous présenter mon premier article. Avant tout, sachez que je suis un vrai fan de Final Fantasy. J'ai joué à tous les volets sauf le premier.

Chaque Final Fantasy contient une scène culte qui sème le trouble dans le coeur du joueur. Pour vous rémémorer de moments clés de cette série, j'ai décidé d'évaluer une petit classement. Et je vous permet meme d'inclure mon article dans votre site mais avec mon nom.
Numéro 1 : La mort d’Aeris – FFVII
Il est impossible de parler de Final Fantasy VII sans évoquer la mort d’Aeris. C’est sûrement le moment le plus marquant de l’univers vidéoludique. Tuer l’héroïne en plein milieu de la trame, il fallait oser, et Square l’a fait ! Certains le crient haut et fort, d’autres le pensent tout bas, mais soyons honnêtes, nous avons tous eu envie de pleurer devant les funérailles aquatiques d’Aeris.
Aeris prie, regarde Cloud en souriant. Tombe Sephiroth, l’épée la première, et embroche Aeris. La matéria retenue dans sa chevelure tombe les marches tandis que se joue en fond le thème d’Aeris. Après un combat contre JENOVA, Cloud dépose la dépouille d’Aeris dans la rivière de la vie… MAGISTRAL !
Numéro 2 : la Fin de FFX
Le final Fantasy jouissant de la plus belle fin est probablement Final Fantasy X. Ses somptueux graphismes n’y sont pas pour rien, car l’atout majeur de l’ending de Final fantasy X, c’est sa musique. Indescriptible, le thème « To Zanarkand » demeure une des plus belle mélodie des Final Fantasy. On applaudit à deux mains et à deux pieds le travail d’Uematsu Nobuo. La musique de l’ending l’inclut, bien entendu, en y rajoutant quelques instruments et un petit prélude.
Yuna danse, et détruit Sin. Les chimères disparaissent progressivement dans le ciel, sous les yeux ébahis des habitants de Spira. Tidus, n’ayant plus de raison de vivre, ou plutôt d’être rêvé, disparaît comme une chimère. Il accepte d’ailleurs son sort, et court vers le pont du vaisseau pour sauter. Yuna court pour le rattraper, mais Tidus n’est plus tangible, alors elle se vautre lamentablement par terre. Elle se relève, et glisse un tendre « je t’aime », tandis que Tidus la prend dans ses bras, un ultime adieu avant de partir et de ne jamais revenir…
Numéro 3 : La fin de FFVII
Si la fin de Final Fantasy VII marque, ce n’est sûrement pas par sa réalisation, mais par sa signification. Un dénouement digne des plus grands livres et films. Il étonne et surprend, et vous êtes probablement restés bouche bée pendant tout le générique…
Cloud vient de battre Sephiroth… il doit maintenant sortir de la grotte Nord qui s’effondre. Une main se tend, celle d’Aeris ? changement d’écran : c’est celle de Tifa. Le rocher sur laquelle elle se tenait glisse, et Cloud la sauve in extremis. Après un léger dialogue romantique à souhait, tous les protagonistes sortent de la grotte dans le HautVent. Comme prévu, Sacre se met en place pour protéger Midgar, mais l’effet attendu n’est pas là : Sacre amplifie la force du Météore. Soudain, un jet du flux de vie sort de la terre, puis deux, puis trois… Tout le flux de la Terre remonte à la surface et repousse le Météore… Aeris n’est pas morte pour rien.
Numéro 4 : 1000 words – FFX-2
Quand Yuna chante une chanson, quelle qu’elle soit, on est forcément admiratif. Quand en plus, elle est interprétée par un nom de la J-POP, on est carrément ébloui. C’est Koda Kumi qui prête sa voix à Yuna dans la version japonaise. Dans la version américaine, donc aussi la nôtre, c’est une inconnue, Jade, qui chante, mais, cas rare, les deux versions sont de même qualité. Si la mélodie nous berce facilement, la qualité de la scène cinématique nous tient réveillés.
Pour réconcilier les deux factions politiques qui s’opposent à Spira, Yuna prépare un concert sur la plaine foudroyée. La vétisphère « chanteuse » de Yuna crée des interférences avec le matériel du Celsius. Toute l’histoire de Lenne est alors révélée grandeur nature. Yuna s’effondre devant cette performance magique.
Numéro 5 : Le baiser – FFX
Même si les histoires d’amour sont omniprésentes dans les Final Fantasy, les démonstrations d’affections publiques sont rares… alors, quand elles sont servies en trois dimensions avec la sublime chanson « Suteki da ne », on en redemande !
Cette scène est indescriptible… Yuna pleure, Tidus s’approche et… pas besoin de vous faire un dessin, vous avez compris.
Numéro 6 : Introduction de FFVIII
Par soucis d’équité, il fallait tout de même choisir un passage de FFVIII. Paradoxalement, l’introduction arrive en premier. Pourquoi ? D’abord pour sa musique, « Liberi Fatali ». Ensuite, pour ses graphismes. D’accord, ça peut paraître vieillot, mais vu l’époque, on peut parler de vraie claque ! Cette introduction bénéficie en plus d’une incroyable mise en scène.
L’introduction est un pêle-mêle d’images de cinématiques tirées du jeu. On peut y noter Linoa dans un champ de fleurs, et Squall qui se bat contre Seifer.
S'ayez, c'est fini. Je vous demande une faveur :
