[Philo] Le moi
Publié : 14 nov. 2006 14:17
« Le moi »
Comme son nom l'indique, « le moi » est vraisemblablement relatif. Néanmoins, il est possible de l'assimiler à une base commune. En effet, « le moi » se présente sous deux catégories: « le moi subjectif » et « le moi objectif ». « Le moi subjectif » est défini par un point de vue personnifié de la personne alors que « le moi objectif » est la représentation de l'image en société.
En résumé, ce que nous sommes n'est pas forcément ce que nous croyons, mais est l'image que nous renvoyons. La vie en société est le point de repers de l'identité. Pour exemple, la moralité est une chose mondaine et non un vérité, personnelle à chacun.
Prenons un cas précis: La prétention.
Ce défaut vas être une roue pour le développement car il vas amener plusieurs exemples explicatif du but de ce récit.
~Une personne se vante souvent de ses atouts et de ses réussite. « Le moi subjectif » ressemble dans ce cas à de la fierté. Mais en ce qui concerne « Le moi objectif », cela peut être pris comme de la prétention. L'individu est-il dans ce cas vantard, ou prétentieux? (ou encore les deux?)
Sachant que les principes et que les impressions se forment à l'aide de la vie social, on est en droit de se dire que l'individu est prétentieux car lui seul se vois autrement. Dans se cas, même lui ne peut affirmer se connaître.
Prenons un autre exemple basé sur le même principe.
~Un individu est prétentieux et le reconnais. En vue d'une auto-dérision, il en rajoute toujours à ce défaut sans être sérieux. Alors, « Le moi objectif » le verra comme de la prétention à haute échelle. Hors l'individu dans ce cas présent essaie de se décrédibiliser. Nous ne pouvons pas affirmer que l'avis de la société est erroné puis-ce que c'est ainsi qu'il est perçu. Dans ce cas, l'individu aura beau être comédien, son rôle fera parti de lui.
Ainsi la question « quel est le véritable moi ? » prend tout son sens.
Il est sage de pensé que notre identité est défini à notre relation social car c'est l'entourage d'une personne qui attribut une identité à celle-ci.
Pour aller dans l'extrême, nous allons prendre pour exemple un meurtrier, psychologiquement instable.
Imaginons que cet assassin perçoit une tout autre image de lui et de ses actes. Bien entendu, certains diront « oui, mais il est psychologiquement fragile », mais comme je l'ai dis, c'est un cas extrême que nous pouvons adapter à plus basse échelle (prenez pour exemple, si cela peut vous paraître plus clair, des terroriste, oeuvrant pour des raisons de fanatisme obsolète). Et bien ce meurtrier aura « Un moi subjectif » des plus élogieux alors que la moralité courante aura une image de « Son moi objectif » abominable.
C'est en cela que toute la réflexion se porte.
Somme nous ce que nous pensons (notre nature) ou ce que les autres pense de nous (notre attitude).
Un homme, vivant en en autarcie dans un lieu reculé depuis son plus vieux souvenir n'aurait aucun moyen de savoir si ce qu'il fait est juste. Il n'aurait acquis aucune valeur moral, et donc, ne s'identifierait qu'a lui même. Pourtant cette personne, même si elle effectue des actes barbare en dépeçant des animaux par exemple, n'en ai pas tout autant un monstre. Hormis pour la société si elle a vent de ses agissement et donc, il en deviens un malgré tout.
De nombreux exemple pourrait être pris, mais en rajouté serait superfétatoires.
Le but de ce récit est de vous amener à un raisonnement particulier, à savoir, un choix entre « est-ce que je réagis comme je le veux, si les autres ne m'acceptent pas tant pis » ou « est-t-il bon de se remettre en question afin de se retrouver? ».
Dans ce contexte, libre à vous de vous faire votre propre opinion.
Comme son nom l'indique, « le moi » est vraisemblablement relatif. Néanmoins, il est possible de l'assimiler à une base commune. En effet, « le moi » se présente sous deux catégories: « le moi subjectif » et « le moi objectif ». « Le moi subjectif » est défini par un point de vue personnifié de la personne alors que « le moi objectif » est la représentation de l'image en société.
En résumé, ce que nous sommes n'est pas forcément ce que nous croyons, mais est l'image que nous renvoyons. La vie en société est le point de repers de l'identité. Pour exemple, la moralité est une chose mondaine et non un vérité, personnelle à chacun.
Prenons un cas précis: La prétention.
Ce défaut vas être une roue pour le développement car il vas amener plusieurs exemples explicatif du but de ce récit.
~Une personne se vante souvent de ses atouts et de ses réussite. « Le moi subjectif » ressemble dans ce cas à de la fierté. Mais en ce qui concerne « Le moi objectif », cela peut être pris comme de la prétention. L'individu est-il dans ce cas vantard, ou prétentieux? (ou encore les deux?)
Sachant que les principes et que les impressions se forment à l'aide de la vie social, on est en droit de se dire que l'individu est prétentieux car lui seul se vois autrement. Dans se cas, même lui ne peut affirmer se connaître.
Prenons un autre exemple basé sur le même principe.
~Un individu est prétentieux et le reconnais. En vue d'une auto-dérision, il en rajoute toujours à ce défaut sans être sérieux. Alors, « Le moi objectif » le verra comme de la prétention à haute échelle. Hors l'individu dans ce cas présent essaie de se décrédibiliser. Nous ne pouvons pas affirmer que l'avis de la société est erroné puis-ce que c'est ainsi qu'il est perçu. Dans ce cas, l'individu aura beau être comédien, son rôle fera parti de lui.
Ainsi la question « quel est le véritable moi ? » prend tout son sens.
Il est sage de pensé que notre identité est défini à notre relation social car c'est l'entourage d'une personne qui attribut une identité à celle-ci.
Pour aller dans l'extrême, nous allons prendre pour exemple un meurtrier, psychologiquement instable.
Imaginons que cet assassin perçoit une tout autre image de lui et de ses actes. Bien entendu, certains diront « oui, mais il est psychologiquement fragile », mais comme je l'ai dis, c'est un cas extrême que nous pouvons adapter à plus basse échelle (prenez pour exemple, si cela peut vous paraître plus clair, des terroriste, oeuvrant pour des raisons de fanatisme obsolète). Et bien ce meurtrier aura « Un moi subjectif » des plus élogieux alors que la moralité courante aura une image de « Son moi objectif » abominable.
C'est en cela que toute la réflexion se porte.
Somme nous ce que nous pensons (notre nature) ou ce que les autres pense de nous (notre attitude).
Un homme, vivant en en autarcie dans un lieu reculé depuis son plus vieux souvenir n'aurait aucun moyen de savoir si ce qu'il fait est juste. Il n'aurait acquis aucune valeur moral, et donc, ne s'identifierait qu'a lui même. Pourtant cette personne, même si elle effectue des actes barbare en dépeçant des animaux par exemple, n'en ai pas tout autant un monstre. Hormis pour la société si elle a vent de ses agissement et donc, il en deviens un malgré tout.
De nombreux exemple pourrait être pris, mais en rajouté serait superfétatoires.
Le but de ce récit est de vous amener à un raisonnement particulier, à savoir, un choix entre « est-ce que je réagis comme je le veux, si les autres ne m'acceptent pas tant pis » ou « est-t-il bon de se remettre en question afin de se retrouver? ».
Dans ce contexte, libre à vous de vous faire votre propre opinion.