Blue Dragon
Publié : 14 mai 2007 3:55
Voici venir le temps des rires et des chants, sur l'île aux enfants c'est tout les jours le printemps. Pas comme chez nous. Bref. Nous ne sommes pas là pour éloger Casimir mais pour parler de «Blue Dragon», une petite merveille assez récente.
Alors il faut savoir que malgré les similitudes sur le principe scénaristique, le manga et l'animé sont bien différent.
Je vais donc commencer par le manga que je n'ai pas aimé pour une raison de goût.
Tout d'abord, il faut avouer qu'avec Obata (dessinateur de Death Note) à la plume, le dessin est d'un régale oculaire. Mais cette prouesse graphique est altéré par un principe que l'on retrouve souvent dans les Shounen, un scénario qui regorge de «fan service» (plus soft que le Hentai). Malheureusement, je m'attendais à tout autre chose et pour moi, le fan service n'est pas compatible avec un bon scénario v_v (après j'ai rien contre Ichigo 100% ou I's, mais là, on sait qu'il s'agit de ça quoi). Donc voilà, après visionnage de 15 chapitres, bah ma conclusion est assez péjorative.
Hey Toulal, t'avais fait une colo de la brunette à lunette
Je sais. Elle s'appelle Mio et j'avais pris le scan dans un chapitre de Jump. (D'ailleurs j'en suis fière, hum~...)
Ensuite j'ai quand même visonné l'animé et là, du grand art.
Opening et Ending
Le staff est toujours d'une qualité exemplaire. C'est Toriyama Akira (DBZ) qui prend les commandes graphique. Le carac design nous rappelle fortement Dragon Quest (qui a lui-même les références dbz que l'on aime tant). Mais toute cette préstance visuelle est soutenue par un virtuose de la composition japonaise. Celui que nous sommes presque tous à préférer, à vénérer, à prier le soir avant d'aller se coucher: Uematsu Nobuo. Et oui, le titan des musiques ff, que nous avons tant chantonné, a composé la B.O (que je me suis empressé de posséder). Alors les musiques ne sont pas sans rappeler ce qu'a déjà composé Nobu (ouais c'est son petit surnom, je le tutoie même quand il vient manger à la maison), et cette alliance technique audio visuelle rend l'animé différent. Le scénario n'est pas d'une exclusivité démentielle, mais se marrie très bien avec le style d'Aki (j'le connais très bien aussi, j'lui ai tout appris).
Au final, quand on regarde l'anime, bah on ressent un petit truc particulier. Impression amplifié si on a joué à DQ8.
Je vous conseille donc l'anime en priorité et le manga juste pour la beauté des images et si vous avez le courage de supporter le fan service ou si vous adorez ça, alors vous allez prendre vraiment plaisir à suivre l'histoire. Mais je le répète encore, l'animé et le manga sont vraiment différent.
PS: Il y a déjà un jeu sorti au Japon:
Alors il faut savoir que malgré les similitudes sur le principe scénaristique, le manga et l'animé sont bien différent.
Je vais donc commencer par le manga que je n'ai pas aimé pour une raison de goût.
Tout d'abord, il faut avouer qu'avec Obata (dessinateur de Death Note) à la plume, le dessin est d'un régale oculaire. Mais cette prouesse graphique est altéré par un principe que l'on retrouve souvent dans les Shounen, un scénario qui regorge de «fan service» (plus soft que le Hentai). Malheureusement, je m'attendais à tout autre chose et pour moi, le fan service n'est pas compatible avec un bon scénario v_v (après j'ai rien contre Ichigo 100% ou I's, mais là, on sait qu'il s'agit de ça quoi). Donc voilà, après visionnage de 15 chapitres, bah ma conclusion est assez péjorative.
Hey Toulal, t'avais fait une colo de la brunette à lunette
Je sais. Elle s'appelle Mio et j'avais pris le scan dans un chapitre de Jump. (D'ailleurs j'en suis fière, hum~...)
Ensuite j'ai quand même visonné l'animé et là, du grand art.
Opening et Ending
Le staff est toujours d'une qualité exemplaire. C'est Toriyama Akira (DBZ) qui prend les commandes graphique. Le carac design nous rappelle fortement Dragon Quest (qui a lui-même les références dbz que l'on aime tant). Mais toute cette préstance visuelle est soutenue par un virtuose de la composition japonaise. Celui que nous sommes presque tous à préférer, à vénérer, à prier le soir avant d'aller se coucher: Uematsu Nobuo. Et oui, le titan des musiques ff, que nous avons tant chantonné, a composé la B.O (que je me suis empressé de posséder). Alors les musiques ne sont pas sans rappeler ce qu'a déjà composé Nobu (ouais c'est son petit surnom, je le tutoie même quand il vient manger à la maison), et cette alliance technique audio visuelle rend l'animé différent. Le scénario n'est pas d'une exclusivité démentielle, mais se marrie très bien avec le style d'Aki (j'le connais très bien aussi, j'lui ai tout appris).
Au final, quand on regarde l'anime, bah on ressent un petit truc particulier. Impression amplifié si on a joué à DQ8.
Je vous conseille donc l'anime en priorité et le manga juste pour la beauté des images et si vous avez le courage de supporter le fan service ou si vous adorez ça, alors vous allez prendre vraiment plaisir à suivre l'histoire. Mais je le répète encore, l'animé et le manga sont vraiment différent.
PS: Il y a déjà un jeu sorti au Japon:
