dsl pour ce double post, mais si j'édite, l'autre va être un peu long.
Alors voilà, après vous avoir fait mariner

, je vous met
UN chapitre de ma fic. Hé oui, un seul car je n'ai pas encore terminé l'autre, mais n'ayez pas peur, il est en cours
Sur ce, bonne lecture.
Chapitre 10: Révélations
Cela faisait déjà deux jours que la mission confiée à Squall avait débutée. L'agitation régnait dans les locaux de l'université, plus particulièrement dans le niveau de surveillance sattelitaire.
Cid: Nous n'avons pas reçu de nouvelles de Squall depuis plus de 48 heures. Comment savoir s'il n'a pas besoin de renforts ?
Quistis: Nous avons déjà envoyer plusieurs équipes de reconnaissance. Ils nous auraient appelées s'ils avaient du nouveau.
Sur ces paroles, le téléphone retentit.
Cid: C'est eux. J'en suis certain.
Quistis décrocha le combiné. Elle entendit des grésillements, puis une voix, entrecoupée de parasites.
Quistis: J'écoute.
Voix, presque inaudible: Ici Yuu, de la patrouille numéro 3. Il y a urgence. Nous avons retrouvé la carcasse du vaisseau Hydre, mais...
Quistis, horrifiée: Oh, mon dieu.
Yuu: Attendez, il n'y aucune trace des occupants.
Quistis, soulagée: Ouf !!
Yuu: Le seul problème, c'est que nous ne pouvons pas atteindre la fac de Galbadia. On dirait qu'une sorte de champ magnétique protège le périmètre et impossible de le traverser.
Quistis, à Cid: Ils ont découvert le vaisseau Hydre, mais sans Squall. Il n'arrive pas à rejoindre Galbadia, en raison d'un champ de force qui protégerait les environs.
Cid, toujours de bon conseil: Essayez de joindre le central de Dollet.
Quistis: Je vois où vous voulez en venir. Reprenant le combiné: Essayez de contacter le maire de Dollet. Donnez lui le numéro de l'école pour qu'il puisse nous rappeler.
Yuu: C'est comme ci c'était fait !
Squall et les autres s'étaient posés près de la porte, prenant quelques minutes pour se remettre de leurs émotions. Squall ne cessait de regarder la porte, sachant que derrière celle-ci se cachait une des créatures les plus terrifiantes jamais combattue.
Zell, perplexe: Je n'arrive pas à comprendre pourquoi tu as voulu abréger les souffrances de ce satané Seifer. Depuis le temps qu'il nous cherche, tu aurais dû le laisser souffrir.
Selphie: Squall n'est pas un monstre tout de même. Il se devait de le faire pour que Seifer ne nous gène plus,car ses deux compagnons, n'ayant plus de chef, n'avait plus qu'une seule alternative: retourner à la BGU.
Squall: Non, ce n'est pas pour ça. C'est juste une question d'honneur.
Zell: Si tu le dis. Mais qu'est ce qu'on attend pour aller combattre le monstre ?
Selphie: On attend que ton clapet se ferme.
Zell: Tu peux parler, la poule mouillée. Si t'avait pas laissé ce fichu médaillon en évidence, on aurait peut être évité une bagarre.
Squall, la tête penchée en arrière: Non, ce n'est pas de sa faute. Et je te rappele que sans Selphie, nous aurions tourné en rond plusieurs heures, à la recherche de cette satanée porte.
Selphie, tirant la langue: Hummm !!
Zell, moqueur: Range ça, c'est moche.
Selphie, piquée au vif, se releva et alla dans la direction opposée, fit quelques pas puis s'arrêta. Elle sortit son nunchak, puis fit quelques coups dans le vide, histoire de s'entraîner avant la dure épreuve qui les attendait.
Squall, toujours le regard dans le vide: Qui aime bien châtie bien, comme on dit.
Zell: Quoi !! Tu crois que moi et... Non, t'as pas crû ça, j'espère ?
Squall: Je ne fais que donner mon avis.
Zell, regardant Selphie: C'est vrai qu'on a de nombreux points communs.
Squall, souriant: Vous avez tous les deux de l'énergie à revendre.
Zell, pivoine: HEIN !! Mais qu'est ce que tu me fais dire là. Il serait temps de penser à la suite. C'est qu'on a un monstre à combattre, nous.
Squall, se relevant: Comme tu veux, bourreau des coeurs. A Selphie: On a besoin de toi ici, Selphie.
Selphie se précipita dans leur direction. Elle regarda Squall, puis Zell, et lui sourit. Celui-ci vira au rouge.
Selphie: Je ne t'en veux pas, tu sais.
Zell, bafouillant: Euh... Moi non plus. Désolé pour tout à l'heure.
Selphie ôta le pendentif qui était à son cou et le tendit à Squall. Il ne tarda pas à le placer dans l'orifice prévu à cet effet. Une fois l'objet enfoncé dans le creux de la porte, une lumière scintillante émana du trou. La porte commença à s'ouvrir, dans un bruit épouvantable, dû au long nombres d'années qu'elle était restée close.
Squall, dégainant sa gunblade: Nous voila, Cryell.
***
Voilà, je sais c'est pas grand chose, mais comme on arrive sur la fin, je vais pas tout vous mettre d'un coup.
A bientôt.