Ma toute nouvelle histoire est basée sur la suite de Fianl Fantasy VIII (mon préféré

Le style a complétement changé par rapport à ce que j'aurai pu faire précédemment. Je me suis plus laché sur les dialogues (qui sont vraiment très nombreux). Je suis beaucoup inspiré pour écrire la suite, mais j'aimerais tout de même avoir vos avis, en espérant qu'ils soient positifs.
Je vous laisse à la lecture de cette nouvelle histoire au style tout nouveau, tout chaud, qui sort de mon cerveau (je m'applique sur les rimes, tiens...XD)
Bonne lecture

_______________________
Chapitre 1
Cela faisait plus d'un mois qu'Ultimécia avait été vaincue. Squall, assis sur un coin d'herbe détrempé, fixait l'horizon, pensif. Il se remémorrait les journées passées à courir à travers le monde, lorsqu'il reçu un violent coup sur le crâne.
Zell>...Désolé...pas fait exprès !!
Squall, se frottant la tête> Mais t'es vraiment qu'un pauvre crétin...qu'est-ce qui te prend ?!
Zell, ramassant son ballon> Ben, je pensais qu'avec tes fabuleux réflexes, t'aurais pu prévoir le truc.
Squall>...pfff...n'importe quoi !!
Zell> Tu viens faire quelques paniers avec moi...j'crois bien que ça te changerai les idées. Ca fait des heures que t'es là à rien faire.
Squall>...Ouais, pourquoi pas. Allons-y.
Zell menait Squall à travers le gymnase, tout en faisant rebondir sa balle sur le sol. Ils passèrent à proximité du vestiaire des filles, et en profitèrent pour se rincer l'oeil.
Zell, tout sourire> J'adore ces vestiaires. Je sais pas pourquoi mais j'y suis comme attiré...héhé....Si Linoa aurait vu ça, je pense que t'aurais passé un sale quart d'heure, mon gars.
Squall, le regard fixé dans le vague>...Qui ?!...ah oui, probablement.
***
Zell aperçu non loin des tribunes un ami à lui. Il lui fit signe de se joindre à eux.
Shion> Désolé, mais j'ai un rencard là ! Peut être une autre fois !
Zell> Pas de problème ! A plus !
Squall> C'est qui, lui ?
Zell> Oh, c'est un copain de classe. On est ensemble en cours de philo...tu verrais comment on se marre bien, mais bon je pense que t'en a rien à foutre de ça.
Squall> Hein ?! Pourquoi tu dis ça ?
Zell> Oh, comme ça. Te connaissant...
Squall>...C'est vraiment l'impression que je donne. J'ai vraiment l'air de quelqu'un qui se fout de la vie de ses amis.
Zell, faisant une passe à Squall> Attends...j'ai pas dit ça...excuse-moi, je me suis peut être mal exprimé !
Squall, se ressaisissant> Nan. Je crois que t'as raison...faut que je me refasse.
Zell, au rebond> T'es sûr que ca va. T'as pas l'air dans ton assiette...je serais toi, j'irais vite à l'infirmerie.
Squall> Mais...et notre partie ?
Zell> Je préfére que t'ailles mieux...sinon je risque de te mettre une vraie raclée
Squall> Bon, ben j'y vais. Souhaites moi bonne chance.
Zell, perplexe> Et en quelle honneur ?
Squall, avec un sourire enfantin> C'est la grosse Bertha qui est aux commandes pendant les midis.
Zell> Ah oui, en effet. Et bien, bonne chance alors.
Squall fit le chemin en sens inverse, non sans jeter à nouveau un rapide coup d'oeil dans le vestiaire des filles, qui était vide maintenant.
***
Arrivé devant la porte du dispensaire, Squall prit une très grande inspiration et s'apprétait à frapper à la porte, lorsqu'une voix familière lui parvint aux oreilles.
Quistis> Qu'est-ce que tu fais ici ?
Squall> Et bien, j'allais faire ma visite quotidienne
Quistis> ???
Squall> J'ai juste un coup de pompe...je sais pas pourquoi mais je me sens tout faiblard ces derniers temps.
Quistis> C'est vrai, mais c'est comme les autres jours de la semaine.
Squall> Très amusant. Si t'en a d'autres des comme ça, je serais curieux de les entendre.
Quistis> Eh...ne sois pas toujours sur la défensive, c'est agaçant à la fin. Dis-moi ce qui ne va pas.
Squall, voyant quelqu'un pas très loin de Quistis> Non, c'est rien.
Quistis, haussant le ton> Ah non. les réponses à la "Squall, j'me lamente", j'en ai assez. Vide ton sac tout de suite, ou alors je m'en vais. Et regarde moi quand je te parle.
Squall, brusqué> Mais...mais...j'ai rien demandé moi. Je suis juste un élève comme les autres allant à l'infirmerie.
Quistis> Tu n'es pas un élève comme les autres. Tu es MON élève, et par...
Garçon, prenant une voix grave>...les pouvoirs qui me sont conférés, je veux que tu parles.
Squall, mort de rire> T'es vraiment un bon, Seifer. Toujours là quand on s'y attend le moins.
Quistis, vexée> hum..hum...Que nous vaut cette visite ?
Seifer> Mais on est pas content de me voir à ce que je voie. A part toi, Squall.
Squall, essuyant ses larmes: Ouais...Quistis, ne sois pas incisive, c'est agaçant à la fin.
Quistis, d'une voix tremblotante> Euh...je dois y aller. A tout à l'heure Squall.
Elle pris la direction de la salle de classe d'un pas rapide, et claqua la porte de celle-ci après y être entré.
Seifer, les mains sur les hanches> Qu'est-ce qu'elle a ?
Squall> Je sais pas. Probablement le jour J...enfin tu vois ce que je veux dire ?
Seifer, pris d'un rire communicatif> Ouais, je vois tout à fait.
Ils rièrent ainsi pendant une bonne dizaine de minutes devant la porte de l'infirmerie, gênant les cours qui se déroulaient juste à côté. La fameuse porte devant laquelle ils étaient plantés depuis tout à l'heure s'ouvrit brutalement, et une grosse (oui c'est le mot) ombre fut projeté sur les deux compères. Ils émirent un petit "Gloups" de terreur en voyant l'infirmière.
Seifer> C'est quoi, ce machin ?!
Infirmière Bertha> Comment ça ce machin ??!
Seifer> Ouais...enfin...je suis désolé.
Squall manqua de peu de provoquer un nouveau fou rire à Seifer, mais il se calma assez rapidement.
Infirmière Bertha> J'en ferais part au proviseur Kramer. Rira bien qui rira le dernier.
Seifer> Rire, mais pour ma part, c'est déjà fait...ensuite, je ne suis pas de cette fac, et pour finir, c'est Cid Kramer en personne qui m'a demandé de venir.
Squall, pensif> Cid, pourquoi t'as-t-il demandé de venir ? Est-ce qu'il t'as donné des informations sur l'objet de ta venue.
Seifer> Non, il ne m'en a pas dévoilé davantage.
Infirmière Bertha> Veuillez entrer, mais taisez-vous. Vous dérangez les malades.
Squall et Seifer entrèrent de conserve dans la grande salle qui sentait bon l'odeur de javel et autres détergents.
***
Seifer> O_o...Qu'est ce qu'elle m'a injecté la grosse. C'est une vraie drogue son truc...j'suis tout stone là.
Squall>o_O...C'est clair. Moi, elle m'a bien fait trois piqûres parce qu'elle avait loupé la veine. Mais je sais pas pourquoi toi t'y a eu droit aussi !
Seifer> Elle m'a dit que j'en avais besoin parce que j'avais une petite mine...mon cul oui, c'est une sadique c'te meuf, moi j'te le dis.
Squall> Et si on allait voir Cid. Il doit s'impatienter. Ca te déranges pas si je t'accompagnes ?
Seifer, recouvant son avant-bras avec sa veste> Non, bien sûr. Mes affaires sont également les tiennes. Tu devrais le savoir depuis le temps.
Ils prirent l'ascenseur pour atteindre le bureau du proviseur. Ils entrèrent, accompagnés de Nida. Cid était face à la fenêtre, en train de contempler le paysage.
Cid> Prenez un siège. Vous n'allez pas rester debout tout de même ?
Seifer, se lançant à l'intérieur du confortable divan> Oh que non...j'ai amené Squall avec moi, ca pose pas de problèmes ?
Cid, faisant signe à Nida de sortir> Non, en fait c'est vous deux que je voulais voir.
Squall, s'asseyant> Vraiment ?!!!
Seifer> Qu'y a-t-il de si important pour m'avoir fait venir de si loin , J'espère qu'il y aura de la baston, parce que moi, la baston, ça me connait.
Squall> Elle te connaît même très bien. Souviens toi y'a pas si longtemps.
Seifer éclata de rire, mais repris son sérieux aussi vite qu'il l'avait perdu.
Cid> Je suis heureux que vous preniez vos différends passés avec philosophie, parce que vous allez faire équipe pour cette mission.
Squall> COOL !!...mais en quoi ça consiste ?
Cid> Je vais vous l'expliquer, mais pour ça, il faudrait que vous me laissiez la parole.
Squall> Oui...désolé.
Cid> Bien. Votre mission sera plutôt facile pour des jeunes gens expérimentés tels que vous. Vous n'êtes pas sans savoir que de nombreuses recherches ont été effectuées dans le but de trouver de nouvelles formes de vies après la mort d'Ultimécia. il semblerait que le laboratoire estharien soit en possession d'un être aux capacités extraordinaires.
Squall et Seifer> ???
Cid> Vous devez vous demander pourquoi Esthar possède une telle créature en ces murs. Mr. Loire, le président d'Esthar, nous a fait savoir qu'ils nous laissait carte blanche pour le récupérer, faire des analyses, et le détruire si un quelquonque mal venait à se produire.
Squall> C'est bien beau tout cela, mais...et le Dr. Geyser ? Est-ce qu'il est d'accord pour ce genre de transfert ?
Seifer, prenant un air supérieur> Hé hé, moi j'ai tout compris. Personne ne t'as parlé de transfert. Ca va être à nous de le récupérer. De force.
Cid> Effectivement. Le Dr.Geyser est prévenu de cette opération, qui n'est pas sans compter quelques dangers, bien entendu. C'est pour cela que je fais appel à vous. Il y aura notamment des gardes qui traîneront dans les couloirs du laboratoire. Alors je vous recommande la plus grande prudence.
Cid leur tendit une cassette audio.
Cid> Cette cassette contient un enregistrement de la voix du Dr. Geyser, qui lui est propre, et donc impossible à falsifier. J'espère que vous avez un baladeur sur vous, Seifer ?
Seifer, secouant la machine> Comme vous me l'avait demandé.
Cid> Bien. Sur ce, je vous souhaite bonne chance.
Squall> Euh...On part maintenant ?!
Cid> Il n'y a pas de raison d'attendre davantage.
Squall>Oui...mais...
Cid> Allez. Préparez-vous
***
Une fois à l'intérieur de l'Hydre, un silence de mort se fit entendre. Seifer essaya à plusieurs reprises de le briser en lançant des vannes stupides toutes les 30 secondes, mais rien n'y fit. On entendit les rires étouffés de Squall, se retenant au maximum pour laisser toute sa concentration au pilote.
***
Seifer> On doit être à proximité du labo. J'espère que t'as de bonnes jambes, il va falloir marcher.
Squall> Comment tu sais qu'on est pas loin du labo ? On est en plein désert là.
Seifer> Fais-moi confiance...Je t'assure que je sais ce que je fais.
Squall> Si tu dis ça pour me rassurer.
Ils marchèrent pendant une bonne heure et, arrivés non loin de leur cible, se dissimulèrent derrière un buisson.
Seifer, pointant un doigt vers une lourde grille de métal> Voila l'entrée...le problème, c'est que je sais pas comment on va faire pour passer sans se faire remarquer.
Squall, fouillant dans un sac> Utilises tes méninges, et surtout le matos qui a dans ton sac.
Seifer> ...!
Squall, stoppé net dans son élan> Tu va pas me dire que t'as oublié ton sac ?!
Seifer> Ben...si figures-toi !
Squall, se prenant la tête> T'es vraiment un con...à cause de toi, il nous manque la moitié de l'équipement.
Seifer, fourrant sa main dans la poche de sa veste> Nan, j'ai tout de même pensé à prendre le baladeur ET la cassette.
Squall> Y'a des moments où je pense que que si ta tête n'étais pas accrochée à tes épaules, tu l'oublierais.
Seifer> C'est bon, pas la peine d'en faire tout un plat...on va se démerder.
Squall> Ah ouais...et comment tu fais toi qui es si malin...y'a au moins une dizaine de gardes là-dedans.
Seifer> Suffit de trouver un plan d'action.
Squall> XD !!!
Seifer> Ben quoi...
***
Seifer> T'as bien compris ce que tu dois faire...
Squall> Je suis pas con comme toi...
Seifer> Bon...tu y vas quand je te le dirai...........GO !!!!
Squall courut à toute allure en direction du conduit de ventilation, tandis que Seifer se dirigeai vers la grille métallique.
Seifer, tout en mettant l'enregistrement dans le baladeur> Bon, plus que 3 minutes avant l'arrivée des gardes...j'ai intérêt à assurer.
Enregistrement> "...She wants to involve her in what she's doiiooiiiifffffffffhhhhhhhhhh........."
Commande vocale> Code erroné, code erroné.
Seifer, changeant la cassette> Merde, mon cours d'Anglais !
Enregistrement> "...Mayonnaise, cure-dents, crème anti-UV, poulefffffffffffffcchhhhhhhhhh........."
Commande vocale> Code erroné, code erroné.
Seifer, fouillant de nouveau dans sa poche> FAIT CHIER !!!!!!
Enregistrement> " Laize boi endrer ! Zalobrie de bachine ! "
Commande vocale> Code accepté, code accepté.
La lourde grille s'ouvrit en un temps qui sembla une éternité pour Seifer. Il se faufila derrière deux gardes et les assoma, cachant les corps bien à l'abri.
***
Il ne restait plus que deux minutes à Squall avant que le conduit de ventilation ne se referme, le laissant prisonnier à l'intérieur. Il atteignit le couloir principal du labo en un rien de temps, et courut se cacher derrière un tas de caisses expérimentales. Il vit passer deux gardes, sortit sa gunblade, mais ne tarda pas à la ranger. Etant à présent seul dans la pièce, il avait tout le loisir de mettre le plan de Seifer à éxécution.
Il devait faire descendre l'ascenseur à l'étage inférieur pour laisser Seifer entrer. Ils avaient prévus un certain laps de temps pour que Squall puisse dynamiter l'ascenseur par la suite. Squall mit la minuterie en route et glissa la bombe à l'intérieur de l'ascenseur avant de le faire descendre.
Squall, ricanant> Et voila. Pourvu que ça marche !
L'ascenseur descendit dans un grincement quasi inaudible. Seifer se précipita à l'intérieur, mais ne s'attendait pas à voir la bombe déjà installée dans l'ascenseur.
Seifer, pris de panique> Qu'est-ce tu fous, Squall !! Pourquoi t'as déjà mis la bombe ?!!
Il y eut un bourdonnement et l'ascenseur se stoppa net. Plus un bruit hormis celui de la minuterie qui continuait à décompter les secondes restantes avant l'explosion.
Seifer, hurlant à pleins poumons> SQUALLLLLLLL !!!!!! FAIS QUELQUE CHOSE !!! J'AI PAS ENVIE DE CREVER DANS CE TAS DE FERRAILLE !!!
Squall, réfléchissant> J'Y TRAVAILLE !!! PATIENTE UN PETIT PEU !!!
Seifer, fixant la minuterie> Patientes, patientes, facile à dire !
Squall courut en direction du groupe électrogène et le brancha. Sitôt fait, l'ascenseur se remit en route dans un vacarme assourdissant. Lorsque la porte s'ouvrit, Seifer sauta en dehors de l'ascenseur, emportant au passage son ami qui l'attendait. L'explosion eut lieu quelques secondes plus tard. L'ascenseur retomba, inutilisable à l'avenir.
Seifer, reprenant son souffle> Il s'en est fallu de peu...et après on dit que c'est moi le con...
Squall, mort de rire> Ca met un peu de piment dans la vie.
Ils coururent côte à côte en direction de la porte du centre de recherches, là où été entreposé tout ce qu'il y avait d'anormal en ce monde. Il y avait tout un tas de machins disposait ça et là sur la table du laboratoire. Pleins de matériel scientifiques, et de machines faisant tout un tas de "tics" et de "tacs".
Seifer> Là-bas, dans la sphère transparente !!
Squall> Quoi ?! Mais c'est qu'un gamin !!
Ils s'approchèrent de la sphère, la touchèrent pour tester sa solidité. Elle semblait résister à toutes sortes de chocs.
Squall, calmement> T'en fais pas, mon bonhomme. On va te tirer de là !
Voix> J'aimerais bien voir ça !!
Squall 59
***
Et voila la fin du premier chapitre. J'espère vraiment que ca vous a plu, et j'attends avec empressement vos critiques.
Merci de m'avoir lu jusqu'à la fin