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Chains of Promathia : Chapitre 05 - Partie 3

Cette expédition dans l'ancien antre d’un des dieux endormis nous a intrigué. Il est vrai que nous n’en savons pas beaucoup sur ces créatures mythiques. Peut-être que Tenzen sera capable de nous en dire plus. Tenzen souhaite obtenir l’aide des Avatars Terrestres. Les mithras de Gah Nabot celles des Dieux Endormis. Mais au fond, quelle est la différence entre les deux ? Pourquoi ne pas demander l’aide des deux à la fois ? Tenzen pourra peut-être nous en dire un peu plus. De quoi satisfaire notre curiosité et notre soif de connaissance. Il nous a dit vouloir rencontrer Carbuncle, le Porteur d’Arc-en-ciel. Malheureusement, cette créature mythique est inconnue de quasi toute la population. Il est donc plus simple pour nous de pister le samurai que la créature. Il faut dire qu’il ne passe pas inaperçu. Les témoignages des différents habitants nous ont guidé jusqu’au plateau de La Theine. Nous finissons par retrouver Tenzen dans un renfoncement au nord de la région. Il se trouve au milieu d’un cercle de pierre. Après lui avoir demandé ce qu’il fait ici, il nous explique que des rumeurs prétendent que Carbuncle se trouverait à cet emplacement.

Bien que l’Avatar ne se montre pas, Tenzen commence son discours. Il explique que quatre des cinq Cristaux-Mère ont déjà succombé aux ténèbres. Malgré cela, Bahamut et Diabolos ne souhaitent pas nous prêter leur force. Bahamut souhaite annihiler l’humanité pour sauver la planète, tout cela au nom d’un ancien pacte. Tandis que Diabolos compte emporter les âmes de tous les habitants de Vana'diel dans le royaume onirique et ainsi les protéger du Vide. Même si nous sommes tous touchés par la malédiction de Promathia et que nous ne portons pas le pouvoir de nous en défaire, cela ne justifie en rien un tel génocide. Nous avons été bénis du don de la vie, et nous comptons en user jusqu’au dernier moment. Ces deux options sont inconcevables. C’est pourquoi nous venons requérir son aide. Des sphères de couleurs apparaissent alors au sommet de chaque pierre qui forme le cercle. Carbuncle apparaît ensuite en son centre. Il s’agit d’un petit animal, semblable à un écureuil de la même couleur qu’une topaze bleue. 

L’Avatar semble nous connaître. Il sait que nous portons la bénédiction du Cristal-Mère. De même qu’il sait, ou plutôt ressent, que Tenzen est celui qui agit au nom de Phoenix. Il constate que nous sommes entrés en contact avec la volonté de Promathia. Il savait que le moment viendrait où des personnes découvriraient la vérité, peu importe le temps qui passe. Il ne sert à rien de sceller la volonté de Promathia, tant qu’elle existera aux côtés des Cristaux-Mère, elle finira forcément par se libérer. C’est pourquoi Carbuncle accepte de nous guider. Nous sommes rassuré. Diabolos avait laissé entendre que Carbuncle ne nous aiderait pas, mais il s’était clairement trompé. Ou alors il nous avait menti pour nous pousser au désespoir et accepter son offre ? Peu importe. Carbuncle souhaite nous aider à obtenir le pouvoir des dieux endormis. Il nous explique qu’un maximum de personnes doivent posséder leurs pouvoirs afin de stopper l’éveil du Dieu du Crépuscule. Nous en profitons donc pour demander qui sont ces dieux endormis que même les Mithras de Gah Nabot vénèrent. Tenzen nous explique qu’il s’agit d’Avatars autrement plus anciens et puissants que les Avatars Terrestres. On les appelle également les Avatars Célestes. Ils reposent aux quatre coins de Vana’diel et leur pouvoir est tel qu’il ne peuvent apparaître véritablement en ce monde. Pendant son explication, le sabre de Tenzen se met à vibrer. Carbuncle s’en doutait. Phoenix n’approuve pas cette idée. Et sans doute que Diabolos, qui essaye de sauver l'humanité, et Bahamut, qui essaye de sauver la planète, seraient du même avis.

Carbuncle nous explique pourquoi. A chaque fois qu’un Avatar Céleste accorde sa bénédiction à une personne, il emprunte une partie de leur énergie. Avec suffisamment d'énergie siphonnée, ils pourront quitter les cristaux dans lesquels ils dorment et ainsi s'incarner sous leur véritable forme sur Vana’diel. Une bataille sans précédent aura alors lieu entre les Avatars Célestes et les Avatars Terrestres. Les Avatars Célestes ont le même souhait que les Zilarts. Ils veulent rendre à Vana’diel son aspect originel. A l’inverse, les Avatars Terrestres ont pour mission de protéger l’actuelle Vana’diel à tout prix. Malgré ce risque, Carbuncle pense qu’il s’agit d’un risque à prendre. Maintenant que le Gardien de l’Apocalypse est parmi nous, l’éveil de Promathia est proche. Tout ce qui lui manque, c’est d’ouvrir les Portes du Paradis. Nous ne comprenons pas. Ce n’est pas pour échapper à la malédiction de Promathia que les Zilarts ont essayé d’ouvrir les Portes du Paradis ? Avaient-ils faux ? Était-ce une manipulation de la part du Dieu du Crépuscule pour précipiter son éveil ? Dans ce cas, nous devons retrouver et éliminer le Gardien par nous-même. Ainsi il ne pourra pas ouvrir ces portes et Promathia ne pourra pas renaître. Nul besoin de réveiller les dieux endormis. Carbuncle reconnaît notre courage et notre volonté de sauver l’humanité. Il souhaite donc donner une partie de son pouvoir à l’âme blessée de Phoenix, afin qu’elle puisse continuer à nous guider. Il s’agit du pouvoir qu’il avait accordé aux Kuluus dans l’ancien temps. Il doit encore reposer dans les ruines de Pso’Xja, derrière les Portes de Carbuncle. C’est tout ce qu’il peut faire pour nous. L’avatar disparaît alors. Enfin. Enfin un avatar qui accepte de nous aider ! Les autres seront sûrement ravis de l’apprendre. Mais Tenzen ne souhaite pas attendre et veut se rendre immédiatement aux ruines. 

Décidément, ces ruines peuvent presque être considérées comme le centre névralgique de la civilisation kuluu. D’abord Diabolos. Ensuite une route nous menant au quatrième Cristal-Mère. Et maintenant un pouvoir accordé par Carbuncle. Arrivé au glacier de Beaucedine, c’est Phoenix qui nous indique quelle tour recèle le pouvoir que nous recherchons. Nous l’avons déjà dit auparavant, mais nous le confirmons. Heureusement que Tenzen est là pour nous guider. Nous éliminons les gardiens des lieux et avançons rapidement jusqu'aux portes de Carbuncle. Derrières celles-ci se trouve une gigantesque machine incrustée d’un cristal blanc. Tenzen tend son sabre vers le joyau. Nous pouvons voir l'énergie passer du joyau vers la lame, restaurant le pouvoir de Phoenix. L’Avatar peut même désormais parler avec le samurai. Elle lui dit de retourner là où nous avons croisé Selh’teus pour la première fois. C'est-à-dire la clinique de Monberaux à Jeuno. 

Une fois sur place, nous nous séparons pour rassembler un maximum d’informations sur Selh’teus. Nous allons à la clinique pendant que Tenzen se rend au palais ducal. Étant personnellement mandaté par le duché pour retrouver Selh’teus, il peut facilement rassembler des renseignements. Le médecin semble étonné de nous voir. Nous lui demandons s’il a découvert quelque chose à propos du jeune garçon. Montberaux nous répond par la négative. Il a bien tenté de rassembler des informations parmi les gardes, mais aucun soldat ne souhaite ou n’est autorisé à parler. Pourtant, la peur peut se lire dans leurs regards. Sans doute à cause des rumeurs concernant la fin du monde qui circulent en ville. Les on-dit disent même que Prishe est liée à tout cela. Ce qui a eu pour conséquence de mettre une prime pour sa capture. Nous entendons Tenzen s'offusquer dans notre dos. Le voilà de retour du palais. Prishe n’y est pour rien, le gouvernement ne fait que se servir d’elle. C’est Selh’teus le véritable criminel. Et comme un malheur n’arrive jamais seul, Tenzen a appris que Jeuno fomente une attaque contre Bahamut. Le roi des dragons nous menace peut-être d’extinction, mais il reste un des Avatars Terrestres nés pour protéger le monde. Tenzen a bien tenté de convaincre Esha’ntarl qu’il est toujours possible de raisonner le dragon, mais elle n’est pas du genre à se laisser influencer. Pour elle, le dialogue est rompu et seule sa mort nous sauvera tous de ce destin funeste.

Monberaux saute d’étonnement. Il semble qu’il ne soit pas au courant de ce qu’il se passe. Le gouvernement a décidé de garder le silence sur les événements. Sans doute pour éviter de créer la panique parmi les habitants. Monberaux nous demande, légitimement, si les autres nations sont au courant.. Nous lui avouons qu’il est plus que probable que ce ne soit pas le cas. Tenzen enfonce le clou en affirmant qu’ils ne seraient, de toute façon, pas d’une grande aide. Si Bahamut est surnommé le “conquérant des cieux”, ce n’est pas uniquement parce qu’il s’agit du roi des dragons, mais aussi parce qu’il possède un pouvoir hors du commun : celui de contrôler le temps et l’espace. Au moment où il enverra ses troupes attaquer les cités des humains, il sera déjà trop tard. Heureusement pour nous, Bahamut a besoin de rassembler un maximum d'énergie pour téléporter ses sujets. Tout du moins c’est ce qu’Esha’ntarl a confessé à Tenzen. Ce qui veut dire qu’il nous reste du temps pour le convaincre. Monberaux n’en croit pas ses oreilles. La fin de l’humanité approche et tout ce que nous proposons comme solution est le dialogue ? Une solution qui semble bien peu de choses devant la menace qui pèse sur nous. Mais pour faire pencher la balance en notre faveur, nous avons besoin de savoir où Selh’teus a été trouvé par la Garde Ducale en premier lieu. Le médecin soupire. Wolfgang lui avait strictement interdit d’en parler. Cependant, l’urgence de la situation ne lui laisse guère le choix. Au premier étage de la tour de Delkfutt se trouve une immense porte qui mène à des zones plus profondes. C’est dans une des chambres s’y trouvant qu’il a été retrouvé. Nous remercions le médecin et nous mettons en route aussitôt.

Monberaux nous demande cependant d’attendre avant de rejoindre notre compagnon. Nous aurons besoin d’une clef pour atteindre l’étage caché de la tour. Evidemment, Wolfgang possède l’unique exemplaire. Monberaux nous donne une lettre à lui remettre, dans l’espoir que cela le convaincra de nous aider. Il y a peu de chances que cela fonctionne. Mais qui ne tente rien n’a rien après tout. Nous nous rendons donc à la caserne pour lui parler. Mais il semblerait que ce soit plutôt lui qui nous cherchait. Esha’ntarl, devenue entre-temps Archiduchesse par procuration en l’absence de Kam’lanaut, souhaite nous parler. Elle voudrait un compte-rendu de notre périple dans les terres du nord. Nous donnons la lettre au capitaine et le suivons jusqu’à la salle du trône. Esha’ntarl est déjà au courant des événements. La perte du quatrième Cristal-Mère ainsi que d’avoir servi de guide involontaire à Selh’teus. Elle ne nous en tient cependant pas rigueur, au contraire même. Si Nag’molada avait partagé ses secrets avec nous, nous n’en serions pas là. L’avantage, c’est que dorénavant nous connaissons l’identité de notre inconnu. Ainsi, notre nation est lavée de tout soupçon. Voilà qui nous soulage grandement. Protéger les Cristaux-Mère est déjà un lourd fardeau. Devoir veiller aux relations diplomatiques entre notre patrie et Jeuno ne faisait qu’alourdir notre fardeau. Mais désormais nous allons pouvoir prendre un nouvel élan. Cependant, Esha’ntarl nous demande de continuer à coopérer avec elle, pour sauver le cinquième et dernier Cristal-Mère. C’est une question un peu traître. Il est difficile de refuser de sauver le monde !

Satisfaite, la duchesse nous demande si ce qu’il s’est passé avec Prishe est bien la vérité. Est-ce qu'elle a vraiment perturbé les actions de Nag’molada et s’est enfuie avec Selh’teus ? Comment peut-elle être aussi bien informée ? Nous réfléchissons quelques secondes avant de répondre par la négative. Le duché est trop suspect pour que nous leur donnions des informations aussi cruciales sur Prishe. La dernière fois qu’ils la cherchaient, ils avaient promis une récompense pour qui la retrouverait. Non. Nous nous chargerons de la retrouver nous-même. Esha’ntarl nous jure pourtant qu’elle souhaite seulement la protéger. Elle court trois grands dangers. Premièrement, Nag’molada essaie déjà de la faire accuser de la perte du quatrième Cristal-Mère. Et si jamais il la trouve, il s’en prendra directement à elle. Ainsi il pourra aller au bout de son plan sans encombre. Ensuite, il s’agit de Selh’teus qui cherche à se rendre auprès du cinquième Cristal-Mère. Ce dernier repose au fond de la mer et Prishe est la seule à savoir comment l’atteindre. Finalement, il y a toujours les Shikarees de Gha Naboh. Esha’ntarl nous supplie presque de ramener Prishe ici si jamais nous la retrouvons. 

Soudain, Nag’molada fait une entrée théâtrale ! Porte grande ouverte, il réclame une audience avec l’archiduchesse. Il profite de notre présence pour essayer de justifier son échec. Comme l’avait prédit Esh’ntarl, il accuse Prishe de tous les maux. Sans elle, Selh’teus serait déjà entre ses mains. Elle a entendu le murmure de l’âme du garçon, chanté Memoro de la Stono et l’a aidé à s’enfuir ! Selh’teus se serait servi du “testament d’affinité”, qui connecte le cœur et l’âme des Hommes, pour la contrôler ! Mais ce n’est pas un problème. On peut désormais atteindre l’esprit de Selh’teus en passant par celui de Prishe. Ainsi nous pourrons savoir ce qu’il est vraiment advenu d’Al’Taieu. Les deux conseillers d’Esha’ntarl manquent de s'étouffer à ces mots. Nag’molada sous-entendrait-il que Selh’teus n'est pas au courant de l’Effondrement ? Non. Nag’molada pense qu’au contraire, c’est nous qui ignorons ce qui s’est réellement passé. L’air résolu, il demande l’autorisation de monter une expédition pour retrouver Al’Taieu. Les deux conseillers lui coupent la parole. Il a déjà reçu ses ordres : trouver la ville des Mobelins à proximité de Bastok. Mettre la main sur Selh’teus est la mission confiée à Esha’ntarl, telle que l’a décidée la Société d’Armathrwn. Le Kuluu proteste. Esha’ntarl doit déjà s’occuper de Bahamut. Elle ne peut pas s’occuper de deux affaires aussi importantes en même temps… Les deux conseillers lui rappellent que c’est de sa faute si nous nous retrouvons dans une telle situation. Ehsa’ntarl tente alors de calmer le jeu.. S’il a été envoyé pour trouver les Mobelins, c’est parce qu’il fait preuve d’un don rare quand il s’agit de négocier. Ce n’est en aucun cas une punition. Mais Nag’molada proteste. Ils ne savent pas à quel point Selh’teus est puissant. Et ils n’ont plus aucun moyen de le retrouver. Esha’ntarl dévoile alors son plan. Elle va tout simplement l’attirer à elle. Elle sort alors une amulette de ses poches et s’adresse à Selh’teus à travers l’objet. Elle sait qu’il l’entend. Mais… ? C’est l’amulette que Prishe a perdu lors de notre arrivée à Jeuno ! Que fait-elle entre les mains d’Esha’ntarl ? La Zilart explique au garçon de venir la rejoindre afin d’accomplir le pacte. 

Suite à cette entrevue, Esha’ntarl nous congédie tous. Nag’molada est parti à la recherche de la cité des Mobelins sans dire un mot, comme un enfant qui viendrait d’être puni. Et nous, nous sommes libre. Esha’ntarl nous cache bien des choses. Elle semble en savoir long sur ces amulettes, sur Bahamut, sur Selh’teus. Sans parler de l’amulette de Prishe qui se retrouve entre ses mains. Cependant, nous ne pouvons pas lui tirer les vers du nez comme bon nous semble. Nous allons donc continuer à creuser de notre côté. Pour l’heure, il nous faut obtenir cette clef pour rejoindre la fameuse chambre secrète de la tour de Delkfutt. Pauvre Tenzen qui doit se demander où nous sommes passé ! Par chance, Wolfgang nous rejoint. Il nous rend la lettre nous disant que ce qui est à l’intérieur ne lui appartient pas. Puis il repart à ses occupations. Assez étonné, nous ne savons que faire de cette lettre. Nous décidons donc de la rendre à Monberaux. Ce dernier n’est pas étonné de la réaction du capitaine de la garde. Il nous indique un lieu spécifique aux portes de la ville et nous demande d’y creuser. Nous ne comprenons rien à cette chasse au trésor, mais si cela nous permet d’obtenir la clef…

A l’endroit indiqué, nous commençons à soulever la terre. Soudain nous sommes surpris par Wolfgang qui nous demande d’arrêter. Il n’y a rien qui puisse intéresser un héros tel que nous ici. Ce n’est rien de plus qu’un trésor que deux enfants, copains comme cochons, se partageaient. Il ne s’agit que d’un simple bout de verre. Mais pour ces enfants, c’était un bijou hors de prix. En regardant par le prisme de ce morceau de verre, leur vision du monde changeait totalement. Au point même qu’il passaient leur temps à se disputer sa possession. Plus les enfants grandissaient, plus la ville changeait. Observer les bâtiments de la cité ne leur suffisait plus. Bravant les interdits, ils se rendirent aux portes de Jeuno afin d’observer le reste du monde. Ce geste pourtant si anodin aujourd’hui était une totale aventure pour eux. En regardant leur ville d’ici, à travers le bris de glace, ils se rendirent compte à quel point elle était magnifique. Ils revinrent plusieurs fois l’admirer. Monberaux nous rejoint et termine l’histoire de Wolfgang. Les enfants revinrent ici jusqu’au jour où l’un des deux déclara qu’avec ou sans vitre, Jeuno était merveilleuse. Il laissa alors le trésor entre les mains de ses camarades qui l’enterrèrent ici.

L’ambiance vient de changer. Elle est empreinte de nostalgie et de gêne. Finalement, c’est Monberaux qui brise le silence qui s’est installé. La ville est toujours aussi belle qu’à l’époque. Le silence s’installe à nouveau. Puis Monberaux annonce que la vitre est la sienne. Ce que Wolfgang réfute. Tous deux se disputent à propos de ce trésor sans valeur comme lorsqu’ils étaient enfants. Après quelques secondes de silence, Wolfgang remercie son ami. Revenir autant en arrière lui a remis les idées en place. Depuis toutes ces années, il avait oublié pourquoi il se battait : pour protéger son pays natal. Soudain, la capitaine se met à fouiller ses poches. Il nous dit avoir perdu la clef. Est-ce qu’il l’aurait enterrée par erreur en même temps que la vitre ? Ce n’est pas très important de toute façon. Qu’est-ce qu’une réprimande ou une retenue sur son salaire quand on a un ami qui peut payer les prochaines boissons au bar ? Wolfgang repart à la caserne sans se retourner. Monberaux nous conseille de creuser là où se trouve le trésor, mais de prendre uniquement ce dont nous avons besoin. C’est une bien belle leçon d’amitié à laquelle nous assistons. 

Maintenant que nous avons la clef en main, nous pouvons rejoindre Tenzen à la tour de Delkfutt. En espérant que le pauvre bougre ne soit pas devenu fou d’impatience. Heureusement pour nous, ce n’est pas le cas. Il nous attendait patiemment sur l’île de Qufim. Si les samurais possèdent bien une vertu, c’est de savoir se retenir jusqu’au moment opportun. Et c’est exactement ce qu’il a fait. Même si nous n’avons pas échappé à une ou deux remontrances. Nos retrouvailles terminées, nous nous mettons en route vers la fameuse porte cachée. Quelle n’est pas notre surprise de voir que Nag’molada nous y attend ! Mais que fait-il ici ? A-t-il consciemment désobéi à ses ordres ? Il nous explique avoir besoin lui aussi de pénétrer à l’intérieur, sans nous en dire plus. Nous le laissons nous accompagner mais uniquement dans le but de pouvoir garder un œil sur lui. Nous finissons par arriver dans une sorte de laboratoire. Le Kuluu semble ravi de ce qu’il peut observer. Ici, où les Cristaux-Mère sont protégés depuis la nuit des temps. Tenzen en déduit qu’il s'agit de la raison d’être cette tour. Nag’molada approuve. Pourtant, nous pensions que cette tour servait à canaliser l'énergie des Cristaux-Mère afin de la rediriger vers Tu’Lia… C’est dans cet intérêt que Eald’narche s’en est servi. D’après le politicien, c’est aussi une des fonctionnalités de la tour. Les cinq cristaux sont reliés à la tour via les Lignes Cristallines. A l’origine, c’est ici que les Zilarts régulaient les lignes. Puis ce fut Jeuno qui continua secrètement à surveiller les flux afin de les garder sous surveillance. 

Jusqu’au jour fatidique où la résurgence de Bahamut perturba les lignes et les rendit hors de contrôle. Et puis ce fut au tour de Selh’Teus d'apparaître. Ici même. Ce qui ne peut signifier qu’une seule chose : il se déplace à travers les Lignes Cristallines. Il pourrait donc théoriquement atteindre le cinquième et dernier Cristal-Mère. Mais les choses ne sont pas si simples. Les Lignes Cristallines n’ont pas été construites pour permettre de voyager par leur biais. Elles ne servent qu’à rassembler et diriger la lumière des cristaux. Nous en déduisons donc qu’il a obtenu une aide extérieure, ce que Nag’molada nous confirme. Selh’teus est aidé par un Avatar Terrestre. Nous demandons s’il s’agit de Bahamut, mais Nag’molada n’en sait rien. En tout cas, Tenzen est ravi. Il comprend maintenant pourquoi Phoenix l’a guidé jusqu’ici : pour lui montrer comment se rendre auprès du cinquième Cristal-Mère ! 

Hélas, Nag’molada se doit de nous faire déchanter. Esha’ntarl a réactivé les ruines de Pso’Xja. Ces ruines étaient autrefois le foyer des Kuluus. Une fois la guerre contre les Zilarts lancée, les avatars Terrestres ont prêté leurs pouvoir aux Kuluus et ont transformé leur cité en une forteresse impénétrable. Et au plus profond de cette forteresse se cache un dispositif qui brouille les Lignes Cristallines. Il est donc impossible de voyager par ce biais, même avec l’aide de Phoenix. Mais pourquoi Esha’ntarl aurait-elle fait cela ? Ne souhaite-t-elle pas que l’on retrouve le cristal au plus vite ? Nag’molada ne comprend pas non plus ce que cherche à faire la Société d’Armathrywm. C’est pour ça qu’il est venu ici malgré ses ordres. Pour comprendre ce qu’ils essaient de faire. Pourquoi se méfie-t-il à ce point des siens ? Devant notre interrogation, Nag’molada rigole. Evidemment, pour les Enfants d’Altana, les Zilarts et les Kuluus sont un seul et même peuple. Les fameux “anciens”. Mais rien ne pourrait être plus loin de la vérité que cela. Privés du “murmure de l’âme”, un don proche de la télépathie, les Kuluus devaient vivre en reclus. Mais cette situation leur a permis d’avoir un regard différent sur les événements. De voir à quel point les Zilarts se trompaient. Et tout cela est sur le point de recommencer ! Les Zilarts, les Avatars Terrestres, Selh’teus… Tous s’apprêtent à déformer Vana’diel une fois encore !

Mais Tenzen n’est pas d’accord. Il ne faut pas s’en prendre aux Avatars mais collaborer avec eux. C’est seulement grâce à leur aide que nous pourrons repousser le Vide et éliminer son émissaire. Nag’molada hausse les épaules. Il demande à Tenzen d’ouvrir les yeux, les Avatars Terrestres nous manipulent. Quant à Selh’teus, il n’est qu’un simple traître. Il y a dix mille ans de cela, il a privé les Zilarts de leurs rêves. Et aujourd’hui il tente simplement de faire la même chose. Les enregistrements de la tour montrent pourquoi Selh’teus s’est rendu à chaque Cristal-Mère. Dès qu’il en touche un, il draine leur pouvoir. Ce faisant, il prive l’espace qui les entoure de la lumière porteuse de vie et le Vide peut s’installer. C’est ainsi qu'apparaissent les Promyvions. Mais pourquoi cherche-t-il à récupérer cette lumière ? Nag’molada confesse que Selh’teus a d’abord tenté de s’en prendre à Jeuno afin de s'approprier tout le pouvoir que la ville avait drainé des cristaux depuis des siècles. Mais même lui ne pouvait s’en prendre directement au duché. Alors il s’est servi directement à la source.

Comment ça “que la ville avait drainé” ? Une vérité vient à l’esprit de Tenzen. Le Vide a commencé à dévorer son pays bien avant l'arrivée de Bahamut. Et Selh’teus est apparu pour la première fois au même moment que le roi des dragons… Ce ne peut donc pas être eux les responsables  de la propagation du Vide. Est-ce que Nag’molada vient d’avouer à demi-mot que Jeuno est responsable de cette apocalypse ?! Tenzen empoigne son sabre et ordonne à Nag’molada de s’expliquer. Ce dernier, imperturbable, s'exécute sans broncher. Ce n’est pas comme s’ils avaient volontairement relâché le Vide. Les cristaux ont changé pendant les dix mille ans de sommeil que la Société a subis. Spécialement le cristal d’Al’Taieu qui a été endommagé lorsque la capitale céleste a coulé au fond de la mer de Shu’Meyo. Mais que Tenzen ne s’inquiète pas : une fois la Porte des Dieux ouverte, les cristaux retrouveront leur aspect originel. Et ainsi, le Vide disparaîtra. Les Zilarts accompliront par la même occasion leur rêve de toujours. Encore cette histoire de Porte des Dieux ? Encore et toujours la même rengaine ! D’abord Eald’narche et Kam’Lanaut, et maintenant Jeuno tout entier ? Est-ce qu’eux aussi appartenaient à la Société d’Armathrwn ? Était-ce pour cela qu’ils voulaient restaurer la tour de Delkfutt et l’île flottante de Tu’Lia ?

Le seul véritable grain de sable dans le rouage de ce plan, ce sont les Avatars Terrestres. Eux qui sont les gardiens de Vana’diel et donc, par extension, des Cristaux-Mère, ne les laisseront pas faire. Nous lui hurlons d’arrêter ! Nous ne pouvons le laisser faire. Pas après le sacrifice de Lion. Pas après les épreuves que nous avons traversées avec Zeid et Aldo. Diabolos nous a prévenus, nous sommes tous liés par la malédiction de Promathia. Ouvrir les Portes du Paradis c’est détruire notre monde. Mais le Kuluu voit les choses autrement. Chaque fin s’accompagne d’un renouveau. De toute façon, ce monde n’est qu’une illusion. Tout n’est que peine et souffrance. Même les sentiments les plus sincères entraînent conflits et chaos. Si nous avons si peur de le perdre, ce n’est que pour la simple raison que nous ne connaissons que celui-ci. Nous craignons donc de le perdre. Et c’est aussi la raison pour laquelle les Avatars Terrestres protègent aussi ardemment Vana’diel. Leur nom n’est pas vide de sens. Ces créatures sont nées dans ce monde, comme les Enfants d’Altana. Si Vana’diel redevient le paradis qu’elle était à l’origine, ils ne seront rien de plus que de vulgaires animaux. Nous ne sommes que de vulgaires marionnettes leur permettant de maintenir leur statut. C’est pourquoi nous ne devons pas les écouter mais les combattre. Ils nous condamnent à ce monde de douleur.

Voyant que nous sommes sans voix face à ses affirmations, Nag’molada s’avance vers un des appareils. Il prétend pouvoir lire les souvenirs des cristaux grâce à celui-ci et ainsi retrouver Al’Taieu. Malheureusement, tout ce qu’il perçoit n’est rien d’autre que des données partielles à cause des interférences du cinquième cristal. En revanche, il a bien aperçu quelque chose, clairement. Esha’ntarl qui sort d’un appareil. Il reconnaît la pièce. Il s’agit de la Chambre Vespérale. Comme pris d’une illumination, Nag’molada quitte la tour au galop. Tenzen en revanche reste figé. Il est pris de doutes vis-à-vis des Avatars Terrestres. Il interroge alors Phoenix. D’innombrables vies ont été sacrifiées pour la maintenir en vie. Des villages entiers ont été détruits. Est-ce que ces bains de sang ne servaient pas à sauver Vana’diel en fin de compte ? Pour seule réponse, Phoenix nous dit d’aller à la rencontre de Fenrir dans la tour la plus au sud des ruines de Pso’Xja. Impatient de connaître la vérité, nous nous y rendons au plus vite.

Dans les ruines, Tenzen commence à se confier à nous. Il se sent coupable d’avoir fait de nous une des marionnettes des Avatars Terrestres. Il nous apprend que Phoenix lui a confirmé que Nag’molada disait la vérité. Une fois les Portes du Paradis ouvertes, les Avatars Terrestres redeviendront de vulgaires animaux. Les dieux endormis se réveilleront et Vana’diel sera transformée en paradis. Mais leur réveil permettra le retour du Seigneur du Chaos. Malheureusement, Phoenix ne peut dire si cela est une bonne ou une mauvaise chose. Le regard de Tenzen se perd alors dans le vide. La Lame de Phoenix a été forgée dans les flammes de la résurrection. Le feu de Phoenix. Ce sabre n’a qu’un seul but : détruire le Vide. Mais Phoenix manquait de pouvoir pour accomplir sa tâche. Et le seul moyen de renforcer le sabre était de prendre des vies innocentes avec. Nous sommes sous le choc. Ils n’ont tout de même pas… Tenzen voit bien que nous avons compris. D’innombrables vies ont été sacrifiées. D’abord les bandits et criminels. Mais bien vite, les villages incapable de payer leur tribut offraient des sacrifices humains à la place. Puis ce fut au tour de ceux qui ne se réveillaient plus à cause de l’influence néfaste du Vide… Nous regardant droit dans les yeux, Tenzen tente de se justifier. Peut-être qu’ici, cela passerait pour des rites barbares. mais dans l’extrême-orient, ce n’est pas le cas. Ils étaient fiers de donner leur vie pour empêcher la perte de leurs camarades. Et c’est à Tenzen qu’on a confié la tâche de protéger cette épée, au péril de sa vie. Nous ne savons pas quoi répondre à ces révélations. Tenzen nous demande une faveur : de le stopper à tout prix si jamais Phoenix lui faisait faire quelque chose qui mettrait l’humanité en danger. Nous acceptons à contre-coeur, mais cela est suffisant pour le samurai. 

Nous continuons à avancer dans un silence gênant. Au bout du chemin, nous trouvons une machine similaire à celle qui conservait les pouvoirs de Carbuncle. En l’activant, nous pouvons communiquer avec Fenrir. Ce dernier nous remercie de l’avoir aidé à redevenir lui-même à Windurst. L’Avatar est cependant navré de se présenter à nous sous cette forme désincarnée. Voilà donc la forme qu’il a prise après avoir été libéré de son corps de Cardian et de la malédiction du Porteur de Ténèbres. Nous qui le pensions libre, il semblerait qu’il soit plutôt dans un état proche de celui de Phoenix. Sans enveloppe physique et sans la totalité de ses pouvoirs. Tenzen se présente alors à lui. Il est le porteur de Phoenix et souhaite son assistance pour protéger Vana’diel. Quatre Cristaux-Mère ont déjà succombé au Vide et le Gardien de l’Apocalypse sera bientôt parmi nous. Fenrir est soulagé. Il constate que Phoenix continue de vivre parmi les Enfants d’Altana. Elle continue à vivre selon la voie des Avatars Terrestres. Nous lui signifions que nous ne comprenons pas le sens de ses mots. Fenrir nous montre alors quelques-uns de ses souvenirs d’il y a dix mille ans.

Nous observons une plaine qui ressemble beaucoup à celles de la région de Sarutabaruta. Fenrir est en pleine discussion avec des anciens. Il leur annonce que leurs actions ont condamné le monde. Malgré l’avertissement des Avatars, leurs agissements ont diminué l’éclat des Cristaux-Mère et ont permis au Vide de se frayer un chemin. Malgré tout, ils ont décidé de rester dans ce monde. Il ne reste que peu de temps avant que le pacte entre les Avatars Terrestres et Selh’teus ne s'accomplisse. Ils devraient profiter du peu de temps qu’il leur reste. Au milieu de toutes ces personnes, une Zilart prend la parole. Il s’agit d’Esha’ntarl. Elle lui dit que l’avenir n’est pas encore figé. Elle demande à l’Avatar  de prédire un nouveau destin. Fenrir leur répond que le destin est dicté par les Cristaux-Mère et est immuable. Esha’ntarl le sait. Elle sait qu’avec le temps, la force vitale de chacun se souille, donnant naissance aux Ténèbres. Et celui qui cristallisera ces Ténèbres, le Gardien de l’Apocalypse, mettra fin à ce monde. Elle sait que même les pouvoirs divinatoires de l’Avatar ne peuvent pas changer cela. Il reste cependant un ultime espoir. Esha’ntarl s’est rendue au chevet d’un Selh’teus mourant. Sur son lit de mort, il lui a tout raconté. Il suffirait de vaincre le Gardien pour rompre le pacte. 

Fenrir confirme ses dires. Cependant, ce n’est pas si simple. Pour atteindre cet objectif, il faudra rompre tout lien qui nous lie à nos semblables. Maintenant que Selh’teus n’est plus là, qui aurait la force et le courage d’accomplir une telle tâche ? Esha’ntarl répond qu’elle le peut. Elle le fera. Si Selh’teus lui a tout dit, c’est pour qu’elle puisse marcher dans ses pas. Si tel est le cas, même Fenrir ne saurait prédire l’avenir que cela engendrera. Elle qui s’est libérée de la malédiction du Vide, peut-être est-elle destinée à veiller sur l’humanité jusqu’à la fin. Cependant, l’Avatar la met en garde. Elle s’est peut-être libérée du cycle de la vie, mais elle demeurera impuissante face au Gardien de l’Apocalypse. Les ténèbres s’empareront petit à petit du coeur de chaque homme et de chaque femme. Chacun sera assujetti à l’apathie, l’arrogance, la lâcheté, l’envie et la colère. Cela n’impressione pas Esha’ntarl. Elle a confiance en l’humanité. Elle persévérera jusqu’à trouver la solution. C’est pourquoi elle lui intime de lui faire une ultime prédiction. D’annoncer où et quand le Gardien de l’Apocalypse arrivera afin de pouvoir se préparer en conséquence. Fenrir la prévient que les épreuves à venir sont au-delà de tout ce qu’elle peut imaginer. Malgré tout cela, Eshan’tarl est prête. L’Avatar s’exécute donc. L’Avatar révèle alors ce que souhaite la Zilart. Le Gardien de l’Apocalypse se réveillera après un sommeil de dix mille ans, dans un pays nommé Tavnazia.

Suite à cela, nous reprenons nos esprits dans les ruines. La voix de Fenrir a disparu. Toujours en proie au doute, Tenzen ne sait pas s’il doit accorder sa confiance à l’Avatar ou non. Pourtant, dix mille ans ont passé. Et à Tavnazia se trouvait celle que l’on nommait l’infâme. Se pourrait-il que… ? Nous décidons de rentrer au plus vite à Bastok pour parler de tout cela avec Ulmia. Nous demandons à Cid où elle se trouve. Mais l’ingénieur nous demande de nous calmer avant tout, et de lui expliquer ce que nous avons appris. Après quelques minutes d’explications, Cid nous avoue que Nag’molada dit vrai. Il a lui-même étudié les crags et a constaté les étranges fluctuations d’énergie. De plus, il est théoriquement possible d’ouvrir les Portes du Paradis avec les appareils de la tour de Delkfutt. Pourtant, ils ont déjà échoué misérablement une fois. Il faut donc à tout prix empêcher ce désastre de se reproduire. Mais Tenzen nous dit que nous avons d’autres priorités. Trouver le Gardien de l'Apocalypse. Nous pensions qu’il s’agissait de Selh’teus, mais les prédictions de Fenrir laissent penser qu’il s’agit de Prishe. Tenzen sait ce qu’il doit faire. Si elle est vraiment le Gardien, alors… Mais nous l’arrêtons tout de suite ! Elle est notre amie. Et puis rien ne prouve qu’elle est réellement le Gardien. Il doit y avoir une explication. Pourtant Tenzen ne pense pas que Fenrir ait menti. Il n’aurait aucun intérêt à ce que les portes s’ouvrent. Peut-être n’est-elle même pas consciente de sa nature ? 

Cid nous demande alors de garder tout cela pour nous et de ne pas en parler à Ulmia. Nous ne devons pas agir avant d’avoir une vue d’ensemble de tous les événements. Tenzen promet de ne pas en parler avant le retour de Louverance. Puis il part à l'extérieur essayer d’y voir plus clair. Cid nous prend à part. Toute cela l’inquiète. Comme si cette histoire nous dépassait de très loin. L’humanité est déjà assez éprouvée par les Hommes-bêtes et les dragons. Il n’ose imaginer si les Anciens de Jeuno se mêlent à tout cela. Un autre détail dérange l’ingénieur. Comment savoir si nous pouvons faire pleinement confiance à Tenzen ? Même les pirates de Norg n’en savent que très peu sur le pays de Tenzen. Il se peut qu’il nous cache des choses. Il devient difficile de déceler le vrai du faux.

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