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La Fédération de Windurst - Chapitre 08

ll semblerait qu’être un aventurier de renom n’a pas que des avantages. Pas le temps d’aller voir Ajido-Marujido aujourd’hui, on nous réclame à l’audistère ! Ce n’est pas le ministre qui nous reçoit, mais un chercheur du nom de Moreno-Toeno. C’est vrai qu’à y réfléchir, nous n’avons jamais croisé le ministre Koru-Moru en personne. Il est réputé pour être un acharné du travail et ne sortir de son bureau qu’en cas d’absolue nécessité. Pourtant, il y a quatre ans, Koru-Moru a fait une pause et a confié son titre à un dénommé Sedal-Godjal. Ses qualités faisaient de lui le candidat idéal et tout le monde avait confiance en son jugement. Ce qui ne l’empêcha pas de s’enfuir du jour au lendemain, laissant l’audistère livré à lui-même. Après trois longues années sans aucun dirigeant, Koru-Moru reprit son poste. L’affaire fut étouffée par les membres de l’audistère et personne ne semble être au courant. Pourtant, Moreno-Toeno craint que cette histoire ne finisse par causer du tort à l’audistère et à ses étudiants. C’est pourquoi il nous demande de retrouver Sedal-Godjal et de le ramener ici. Chaque ministre porte sur lui un anneau enfermant le pouvoir de la Lune et des étoiles. Et grâce à cela, nous allons pouvoir le retrouver. Lorsqu’il était plus jeune, Koru-Moru égarait souvent l’anneau. Il a donc fait construire une poupée magique qui pouvait détecter son emplacement. Nous allons donc nous en servir pour retrouver Sedal-Godjal. La poupée se mettra à parler lorsque nous nous rapprocherons. Cependant… Moreno-Toeno nous prévient qu’elle peut avoir un langage assez… particulier. Nous ne devons donc pas nous laisser avoir par son baratin. Et effectivement, à peine l’activons-nous qu’un rire des plus dérangeants se fait entendre. Tout de suite, elle nous indique d’aller en direction du nord, avant de nous traiter gratuitement de fainéant ! Ce voyage ne sera pas de tout repos…

Nous devons supporter cette poupée jusque dans la région de Li’Telor, tout au nord-est du continent de Mindartia. Cette fichue poupée nous a fait quitter la région verdoyante de Sarutabaruta. Nous avons emprunté les arides canyons de Tahrongi de la région de Kulshushu, puis les désertiques montagnes de Meriphataud de la région d’Aragoneu pour finalement arriver au sanctuaire de Zi’Tah dans la région de Li’Telor. Au plus profond de cette forêt vierge de toute civilisation récente, se trouvent les ruines de Ro’Maeve. Voyager à travers tout un continent avec une poupée insupportable, tout ça pour finir dans d’antiques ruines… Mais les lieux ne nous laissent pas indifférents. Ces ruines possèdent une architecture semblable à celle de Fei’Yin. Peut-être qu’elles ont été aussi construites par les Zilarts ? Ou peut-être même par les Kuluus ? Nous n’avons pas le temps d’y réfléchir que la poupée nous guide au centre de la structure, vers un lieu appelé la Source de Qu’Hau. Malheureusement, cette dernière s’est tarie depuis bien longtemps. Soudain, la poupée réagit étrangement. Elle se plaint que le pouvoir est beaucoup trop concentré. C’est à ce moment que nous apercevons, à l’opposée de la source, une petite créature dans un manteau. Cette dernière nous observe quelques instants avant de disparaître. La poupée se met alors à rire de son erreur. Elle se recalibre et nous indique une nouvelle direction : le sud-ouest du continent de Quon, Davoi. Impossible pour nous de ne pas lâcher un immense soupir en entendant cela. Nous allons encore devoir voyager à travers toutes les Terres Centrales accompagné par une insupportable poupée ensorcelée, à la recherche d’un ministre qui a disparu sans aucune raison apparente !

Heureusement pour nous le trajet sera plus bref cette fois. Il nous suffit de rebrousser chemin et de partir vers Jeuno pour prendre l'aéronef jusqu’à San d’Oria. Plus vite nous arriverons, plus vite nous nous débarrasserons de cette poupée au caractère insupportable. Aussitôt descendu du vaisseau, nous partons en direction du bastion des Orcs. Nous savons exactement où aller depuis que nous avons détruit les magicites. Avant de rentrer dans la capitale orque, nous demandons une nouvelle fois à la poupée si elle est sûre d’elle cette fois. De son ton hautain, elle confirme. Mais elle ne peut s’empêcher de glisser qu’elle ne peut nous dire où exactement dans Davoi. Exaspéré, nous fonçons dans le tas ! Nous savons déjà depuis notre dernier assaut que Davoi peut être un véritable labyrinthe. Entre les innombrables sentiers et les passages souterrains, il est facile de se cacher. Et cette poupée qui nous est à peine utile en se moquant de nous tout du long ! Finalement, à force d’explorer les moindres coins et recoins, nous trouvons notre Tarutaru. Enfin ! Ce dernier s’était aménagé un lieu de vie dans les arbres, là où les Orcs ne le verraient pas. En voyant la poupée ensorcelée, Sedal-Godjal a tout de suite deviné que nous sommes envoyé par l’audistère. Il nous avertit cependant qu’il travaille de concert avec les chevaliers de San d’Oria. Il doit maintenir toute la zone sous un sceau magique jusqu’à ce que les Elvaans arrivent . Il a cependant été ensorcelé par un Orc possédant une baguette maudite, ce qui l’empêche de partir. Sedal-Godjal se moque qu’on révèle sa position à Moreno-Toeno. En revanche, il détruit la poupée, seul dispositif capable de tracer sa position. En conséquence de quoi, nous sommes seul à savoir où il se trouve exactement. Pourquoi se cacher de la sorte, alors qu’il nous a dit que l’on pouvait avertir son ancien collègue de sa situation ? En tout cas, il est vraiment plus facile de réfléchir à la situation sans les sarcasmes incessants de la poupée !

Cependant, notre mission étant de ramener le fugitif, nous ne pouvons pas rentrer bredouille. Nous décidons d’éliminer l’Orc qui a jeté le sort sur le ministre renégat. Ainsi il pourra nous suivre une fois toute l’opération terminée. Nous repartons en vadrouille dans le camp pour trouver le responsable. Un Orc qui se promène avec une baguette et qui jette des sorts, cela ne devrait pas être trop compliqué à trouver. Et effectivement, nous le trouvons légèrement plus loin dans une de leurs cabanes. Il était en train de fanfaronner avec plusieurs de ses camarades. Nous les éliminons rapidement sans qu’ils n’aient vraiment le temps de comprendre ce qu’il se passe et ramassons la baguette. Sedal-Godjal nous remercie mais n’accepte toujours pas de nous suivre. Il refuse de bouger tant que les chevaliers de San d’Oria ne sont pas présents. Lui seul est capable de retenir les Orcs tant que les chevaliers ne sont pas présents. Soit. Nous comprenons parfaitement ses motivations. Mais s’il ne nous accompagne pas, nous méritons au moins des réponses. Sedal-Godjal accepte. Mais nous ne devrons en parler à personne. A l’époque, Koru-Moru entretenait une relation amoureuse par le biais de lettres avec une certaine Mojiji. Seulement… Mojiji n’a jamais existé. Il s’agissait d’un alias utilisé par Sedal-Godjal. Koru-Moru détournait depuis plusieurs années une partie du budget alloué à l’audistère. En agissant ainsi, Sedal-Godjal espérait séduire Koru-Moru et ainsi récupérer l’argent. La ruse fonctionna parfaitement, mais rapidement l’imposteur n’arriva plus à regarder son mentor en face. La situation devint tellement insupportable qu’il décida de partir, au point d’emmener ses affaires avec lui et de ne jamais revenir. Nous tenons parole et rentrons à Windurst. Et tant pis si nous n’avons pas rempli notre mission ! Après tout, ce n’est pas la première fois que nous échouons. Lorsque nous expliquons toute l’histoire à Moreno-Toeno, ce dernier semble un peu déçu. Pas de l’absence de Sedal-Godjal, mais de la vérité sur cette histoire. Le chercheur considère que l’on peut laisser le fugitif en liberté. Il culpabilise déjà assez par lui-même et tente de se racheter.

Plus nous travaillons avec les ministères, plus nous découvrons de secrets. Il faut croire que leurs apparences mignonnes peuvent être trompeuses. En parlant de secret, aujourd’hui c’est Apururu qui souhaite nous voir. Peut-être que nous irons secourir son frère ? Cela fait un moment que le pauvre Ajido-Marujido a été arrêté et envoyé dans le Donjon Sombre. Et nous n’avons pas eu le temps d’aller vérifier comment il se portait. A peine arrivé, Apururu nous supplie de sauver son frère. Même si cela va contre les règles de Windurst. Le Donjon Sombre a la particularité d’absorber les pouvoirs magiques de quiconque se trouve à l’intérieur, voire même de les supprimer totalement dans le pire des cas. Il faut donc agir au plus vite. Ajido-Marujido a beau être résistant, il ne pourra tenir éternellement dans ces lieux maudits. Le donjon repose dans les sous-sols de la tour centrale des ruines d’Horutoto. Seulement, l’accès est scellé grâce au pouvoir de la Lune et des Etoiles. Le seul moyen d’ouvrir le chemin est d’utiliser des objets possédant le même pouvoir. Comme les anneaux que possèdent les ministres. Mais un seul anneau ne semble pas être assez puissant pour ouvrir le sceau. Apururu en a fait l’amère expérience. Elle nous explique que c’est à ce moment-là qu’une voix se fit entendre dans son dos.

En se retournant, elle aperçut le professeur Shantotto. Ancienne ministre de l’orastère et “héroïne de Windurst” depuis la fin de la Guerre du Cristal, sa réputation n’est plus à faire. Grâce à ses immenses pouvoirs et connaissances magiques, ainsi que son caractère assez particulier, elle est autant respectée que crainte. Mais le professeur n'était pas ici pour discuter de la pluie et du beau temps. Non. Elle avait entendu dire qu’Apururu se renseignait sur le Donjon Sombre. “Autant se rendre devant la Sibylle Stellaire et annoncer que tu comptes faire évader ton frère” lui avait-elle dit de but en blanc. Mais Apururu s’en moquait. Tout ce qu’elle voulait, c'était retrouver son frère. Shantotto la comprenait et ne voulait pas perdre Ajido-Marujido non plus. Tout spécialement après tous les efforts qu’elle a fourni pour qu’il devienne un successeur potable, d’après ses propres mots. Utiliser un anneau de ministre pour passer le sceau était une bonne idée. Depuis que les tours ont été détruites pendant la Guerre du Cristal, le pouvoir protégeant le donjon s’est affaibli. Malheureusement, nous les avons réactivées avec Ajido-Marujido et leurs pouvoirs originels ont été restaurés. Un seul anneau n’est donc pas suffisant pour ouvrir ces portes. Mais Shantotto n’était pas venue ici pour narguer Apururu. Elle était venue lui proposer une solution : créer un artefact assez puissant pour supprimer le sceau grâce à chacun des anneaux des cinq ministères.

Voilà donc pourquoi Apururu nous a fait venir. Et comme Shantotto l’a conseillé, il est préférable que la ministre du manustère n’attire pas l’attention. Apururu nous donne son anneau sans sourciller et nous demande de nous dépêcher. Nous comprenons l’urgence de la situation et promettons de faire de notre mieux. Nous commençons par nous rendre là où nous sommes sûr de trouver un anneau : l’optistère. Tosuka-Porika nous avait prêté le sien pour que l’on retrouve le laboratoire secret de Karuha-Baruha. Le ministre refuse cependant de nous prêter l’anneau pour libérer Ajido-Marujido. En revanche, il arrive à ressentir le pouvoir qui émane de nouveau du Livre des Dieux. Essayant de nous le prendre par la force, le tome le repousse. Tosuka-Porika s’avoue alors vaincu. Il ne possède pas un pouvoir suffisant pour pouvoir lire le Livre des Dieux. Mais Ajido-Marujido, si. Il nous propose alors un marché. En échange de l’anneau, nous devons lui faire part des connaissances se trouvant sur ces pages. Il doit savoir ce qui est arrivé à Karaha-Baruha. Nous acceptons. Le troisième anneau dont nous connaissons avec certitude l’emplacement est celui de Sedal-Godjal, l’anneau de l’audistère. Ce dernier ne l’a jamais rendu après s’être enfui et c’est justement grâce à cela que nous avons pu le localiser la première fois. Nous nous rendons donc à Davoi. Le fuyard est plus que ravi de nous remettre l’anneau si cela lui permet d’éviter d’être à nouveau traqué. Au tour du rhinostère. Connaissant Rukususu et sa passion pour l’étude sur le terrain, elle ne doit pas être au ministère. Effectivement, certains chercheurs du rhinostère nous apprennent qu’elle s’est récemment rendue aux ruines de Fei’Yin. Nous partons donc à sa rencontre. Rukususu est étonnée de nous voir mais contente tout de même. Elle nous demande ce qui nous amène. Nous lui expliquons ce qu’il s’est passé avec Ajido-Marujido et ce que nous comptons faire. A notre plus grande surprise, pas besoin de convaincre la ministre. Cette dernière comprend ce que ressent Apururu et souhaite simplement l’aider. Ainsi nous obtenons le quatrième anneau. Ne reste plus que celui de l’orastère, celui d’Ajido-Marujido.

Ne sachant comment le récupérer, nous retournons voir Apururu. Cette dernière est ravie de constater que nous avons déjà récupéré quatre anneaux. Concernant le dernier, elle se doutait que cela ne serait pas aussi simple. Apururu a alors mené sa petite enquête. L’anneau de l’orastère a été confisqué par la Tour des Cieux lorsqu’Ajido-Marujido fut arrêté. Kupipi doit être au courant de l’endroit où il se trouve. Nous nous rendons donc à la Tour des Cieux afin de demander à Kupipi si nous pouvons emprunter l’anneau. Comme nous nous y attendons, elle refuse catégoriquement. L’objet est bien trop précieux pour le prêter à la première personne venue. Mais comme nous avons déjà prouvé notre valeur à la fédération, elle veut bien se montrer conciliante. Malheureusement, l’anneau de l’orastère est gardé par Semih Lafihna elle-même. La pire des situations possible ! Comment allons-nous convaincre celle qui en avait personnellement après Ajido-Marujido de nous remettre son anneau de ministre ? Kupipi nous apprend qu’elle se trouve dans la tour nord-ouest des ruines d’Horutoto pour s’occuper des Cardians. Mais la secrétaire commence à s’inquiéter de sa longue absence. Pas le choix, il nous faut nous y rendre.

Lorsque nous arrivons à la tour Amaryllis, Semih Lafihna est piégée dans une barrière magique. Plusieurs Cardians sont également déployés tout autour d’elle. Ils considèrent les personnes entrant sur leur territoire comme des intrus. Aussi tête brûlée qu’à l’accoutumée, Semih Lafihna affirme que sans leur créateur, ils n’ont aucune raison d’exister. Mais les Cardians ne sont pas de cet avis. Ils ont élu un nouveau roi qui leur bâtira un futur à tous. Semih Lafihna est surprise d’entendre parler d’un roi des Cardians. Lorsqu’elle demande s’il s’agit de l’ancien ministre du manustère, Zonpa-Zippa, les automates réfutent fermement. Soudain, les Cardians nous découvrent et nous enferment dans le même piège que Semih Lafihna. Alors qu’ils s’apprêtent à nous porter le coup de grâce, un Cardian leur intime de s’arrêter. Ceux qui nous entouraient s’écartent devant celui qu’ils appellent leur majesté. Il ordonne de nous laisser en vie et nous pardonne notre intrusion. Il affirme que nous aurons un rôle important à jouer dans l’avenir et que les Cardians ne peuvent se permettre de nous perdre ou de faire de nous un ennemi. Joker, le roi des Cardians, affirme également que nous sommes la clef pour le rendre entier à nouveau. Puis, il ordonne à la Mithra de nous remettre l’anneau de l’orastère. N’ayant pas vraiment le choix, la garde s'exécute. Avant de nous laisser partir, Joker nous fait une autre prédiction. Semih Lafihna doit protéger la Sibylle Stellaire. Jusqu’à ce que les étoiles convergent, elle doit la protéger du Porteur des Ténèbres. Semih Lafihna réagit à ce nom qui nous est totalement inconnu. Tout nous sera révélé en temps voulu. Soudain, une lumière intense nous éblouit et nous nous réveillons à l’extérieur. Semih Lafihna n’est pas avec nous. Elle a déjà dû partir. Nous en faisons de même.

De retour au manustère, nous racontons notre aventure à Apururu. Cette dernière est réellement choquée de savoir que les Cardians rebelles ont élu un roi. Depuis le début de la rébellion, elle a étudié ces automates. Elle a découvert que les Cardians peuvent devenir autonomes lorsque le concept de “maître” ne signifie plus rien pour eux. Mais dans ce cas, ils ne devraient pas avoir de roi. Soudain, Apururu semble avoir compris quelque chose. Cependant, n’étant pas sûr de son hypothèse, elle souhaite l’étudier afin de vérifier sa validité. En attendant, elle nous demande de remettre les cinq anneaux au professeur Shantotto. Dans son laboratoire, cette dernière n’en revient pas qu’un simple aventurier comme nous ait pu mettre la main sur tous les anneaux. Cela est une première dans l’histoire de Windurst ! Mais Shantotto est ravie. Maintenant, Apururu n’a plus à s’inquiéter. Chaque ministre est impliqué dans cette affaire. Voilà donc pourquoi la professeure souhaitait que ce soit un aventurier qui aille les récupérer. Elle avait pensé à tout. La Tarutaru s’empare des anneaux et commence une étrange expérience. Mais avant même de pouvoir observer la première réaction, nous voilà mis à la porte comme un malpropre. Shantotto prétend que nous ne ferions que la gêner et que de toute façon nous n’y comprendrions rien. Après quelques instants, la Tarutaru ouvre à nouveau la porte. Imbue d’elle-même, elle est fière de nous présenter le Gant de l’Aube Perpétuel. Grâce à lui nous pourrons passer le sceau du Donjon Sombre.

Nous prévenons Apururu que les préparatifs sont terminés. Nous nous mettons en route, mais chacun de notre côté, histoire de ne pas attirer le moindre soupçon. Une fois devant le sceau, Apururu enfile le gant et utilise ses pouvoirs pour ouvrir le passage. Il ne faut pas bien longtemps à la ministre du manustère pour arriver à ses fins. Le sceau ouvert, elle se précipite sur son frère, assez mal en point. Ayant perdu toute notion du temps pendant sa captivité, il croit d’abord à un rêve en nous voyant. Puis il réalise bien vite que tout cela est bien réel. Il nous prévient alors que le Porteur des Ténèbres était ici, à la recherche de quelque chose. Il semblait être en peine. Apururu ne comprend pas, mais nous si. Il va nous falloir découvrir la vérité derrière cet être mystérieux. Soudain, Ajido-Marujido sent que nous portons un objet avec une étrange force. Nous lui montrons alors le Livre des Dieux restauré. Le ministre de l’orastère n’en croit pas ses yeux ! Il ouvre le livre, relâchant par la même occasion toute la magie contenue dans ce tome, et s’évanouit devant nous. Ne sachant que faire, nous le transportons jusqu’au manustère. Nous appelons le professeur Shantotto pour qu’elle l'examine mais malheureusement, même elle ne peut rien faire. Cela ne fait que renforcer les craintes d’Apururu. Cela crève les yeux. Pour autant, elle décide de ne pas abandonner et se montre forte. Ajido-Marujido peut être fier d’avoir une sœur telle qu’elle.

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