Vous êtes ici : Accueil › Final Fantasy 11 › La République de Bastok - Chapitre 05

Comme nous l’avons décidé avec Lion, nous rentrons le plus rapidement possible à Bastok pour informer Volker, mais aussi le président, de la situation. Aussitôt descendu de l’aéronef, nous nous rendons vers les forges, où se trouvent tous les bâtiments importants de la ville. A notre grande surprise, tout le monde est déjà en état d’alerte. D’après ce que nous arrivons à soutirer comme informations à droite et à gauche, une créature se serait infiltrée dans la chambre du président. Exactement comme ce que nous avons appris à Jeuno. Dans la foule, nous arrivons à distinguer les mousquetaires, Cid et une jeune fille que nous semblons avoir déjà croisée. Ça y est , nous nous en souvenons. C’est la personne qui s’était enfuie dans les mines quelques semaines plus tôt. Il s’agit donc de la fille du président. Cette dernière s’appelle Cornelia, en hommage à la célèbre moine qui est morte pendant l’expédition internationale. La jeune femme est bien évidemment bouleversée par ce qui est arrivé à son père. Heureusement pour tous, le président Karst nous apparaît en parfaite santé, accompagné par Lucius. Ce dernier nous explique que la créature a usé d’un sort pour infiltrer la chambre et voler le Talisman, une des trois clefs du sceau de Zvahl.

L’identité du coupable est au centre des débats et le ton monte rapidement. Le président renvoie même sa fille dans sa chambre lorsque celle-ci s’offusque de voir les Galkas accusés. Finalement, le président mentionne des lettres des autres États qui font part du retour de la race des Hommes-bêtes que l’on appelle Démons ou Kindred, et de leur volonté de ressusciter le Shadow Lord. Apparemment, personne n’est au courant que sa renaissance est déjà actée. Le président souhaite envoyer les Mousquetaires de Mithril enquêter dans les terres du nord, mais le sénat ne laissera pas ses plus puissants guerriers s’éloigner de la ville aussi facilement. Le président étant pieds et poings liés, nous sommes la seule personne vers qui Bastok peut se tourner. Le président, Volker et Lucius ont suffisamment confiance en nous pour nous confier cette tâche et nous, nous n’avons aucune obligation légale ni politique.

Nous sommes donc convoqué en privé, dans le bureau du président, en présence de Lucius et Volker, pour obtenir notre ordre de mission. Lucius souhaite que nous explorions les ruines de Fei’Yin dans la région de Fauregandi. Ces ruines, semblables à de nombreuses autres à travers tout Vana’diel, seraient les restes d’une civilisation antique beaucoup plus évoluée que la nôtre. On appelait ses habitants les Zilarts. Il y a trente ans de cela, une expédition multinationale a été envoyée dans ces contrées désertiques afin d’y découvrir la source du pouvoir des Zilarts, mais en vain. Elle était menée par Ulrich, l’oncle de Volker, qui était également à la tête des Mousquetaires de Mithril de l’époque. Voilà donc qui explique une partie de nos visions ! Petit à petit, les pièces commencent à s’assembler. Le capitaine des mousquetaires prend alors la parole. Les ruines de Fei’Yin étaient, lors de la Grande Guerre, un fief pour les hordes du Shadow Lord. Après de nombreux efforts et pertes, les ruines ont pu être conquises et scellées. Notre véritable mission sera donc de vérifier l’état du sceau et de le remplacer si besoin. Ainsi, nous couperons le Shadow Lord d’une partie importante de ses troupes.

Nous préparons donc nos affaires pour ce périple. Cette histoire prend une tournure autant inattendue qu’intéressante. Nous réfléchissons aux liens qui peuvent unir les trois nations, l’expédition multinationale, la Guerre du Cristal et le Shadow Lord pendant que nous voyageons jusqu’à San d’Oria en aéronef. A partir de là nous pouvons rejoindre le Glacier de Beaucedine depuis l'est de la région de Ronfaure. Nous arrivons tant bien que mal à trouver notre chemin à travers la toundra et les vastes plaines enneigées. Finalement, au fond d’une des grottes du glacier se trouve l’entrée des ruines de Fei’Yin. Outre l’aspect lugubre d’une cité abandonnée depuis des milliers d’années, quelque chose de malsain se dégage des lieux. Est-ce dû aux nombreux morts-vivants qui habitent les lieux, ou à cause de l’architecture froide des bâtiments ? Nous ne saurons le dire.

Au milieu d’une structure, nous apercevons Lion discuter avec un Galka en armure noire. D’après les descriptions des membres des Mousquetaires de Mithril faites par Naji, il ne peut s’agir que de Zeid. Le fameux Zeid que Volker cherche désespérément partout. Il est vrai qu’il semble effrayant au premier abord, mais lorsque l’on discute avec lui, il dégage quelque chose d’apaisant. La jeune femme et le Galka parlaient de l’expédition multinationale lorsque nous sommes arrivés. Les membres de l'expédition étaient l’épéiste galka Raogrimm, la moine hume Cornelia, le guerrier hume Ulrich, le chevalier elvaan Francmage, le mage blanc Iru-Kuiru, et la chasseuse mithra Yow Rabntah. Les deux premiers ont péri durant l'entreprise, et les quatre restant ont subi une mort violente et inexpliquée une fois rentrés chez eux. Comme s’ils avaient provoqué l’avènement d’un ancien fléau. Lion réagi à cette dernière remarque en rappelant les paroles de l’ombre qui nous est apparue devant les magicites. D’après elle, ce sont les Enfants d’Altana qui sont responsables de la naissance du Shadow Lord. Zeid se met alors à réciter une vieille prophétie.

“Le grand fléau dévorera la juste terre de Vana’diel… L’ancien sceau se brisera, réveillant les cauchemars des âges passés. Le sang des innocents imbibera la terre, et le monde tombera dans la peur et le désespoir. Mais, comme une étoile lumineuse éclaire la nuit à travers les nuages, comme une chanson résonne clairement parmi les rugissements des bêtes, nous retenons en nous un espoir dans les temps les plus sombres. Ils arriveront, avec la sagesse des âges et la force de milliers de personnes, pour nous délivrer de notre détresse. Nous attendons l’éveil des Guerriers du Cristal.”

Lion connaît ces quelques phrases et n’a pu s’empêcher de terminer la légende. Zeid ne sait d’ailleurs pas pourquoi il s’est mis à les réciter. Mais une intuition le tiraille, et ce dernier part vérifier sa véracité. Nous essayons de le suivre et finissons dans l’arène de Fei’Yin. Pas de chance pour nous, le lieu est rempli de morts-vivants puissants. Nous arrivons à tous les terrasser tant bien que mal, mais il faut reconnaître que nous avons eu de la chance. Zeid, qui apparaît dans notre dos, nous fait lui-même la remarque. Il faut savoir bien se positionner et ne pas se précipiter pour tirer parti des faiblesses de son adversaire. Ce dernier souhaite savoir ce que nous faisons ici, et si cela a quelque chose à voir avec les agissements étranges des Hommes-bêtes. Nous lui parlons du sceau qui devrait être ici. Malheureusement, le Galka nous informe qu’il est déjà brisé et que celui que nous avons apporté ne servira à rien. Le chevalier noir annonce ensuite que l’on ne devrait pas se soucier des Hommes-bêtes. Le Shadow Lord est mort. Zeid nous dit ça avec tellement de conviction que l’on pourrait penser qu’il a assisté lui-même à son trépas. Et ce dernier repart le sourire en coin, imaginant la tête du président quand nous lui ferons notre rapport.

Lorsque nous rentrons à Bastok, nous ne savons pas comment nous adresser au président. Ce dernier semble être à fleur de peau et s’emporte assez vite. Et nous avions raison. Aussitôt qu’il apprend que le sceau est brisé, il se met à vociférer contre les Elvaans, comme quoi il est de leur devoir de veiller sur Fei’Yin et qu’ils ne sont qu’une bande d’incapables. Le temps que le président se calme, Volker nous prend à part. Lorsqu’il apprend que nous avons croisé Zeid, il nous explique pourquoi il est convaincu que le Shadow Lord n’est plus une menace. Zeid est celui qui a porté le coup fatal au Shadow Lord au cœur du Château Zvahl, il y a vingt ans de cela lors de la Guerre du Cristal. Il est celui qui aurait dû devenir capitaine, mais il a disparu du jour au lendemain, traquant les Démons à travers tout Vana’diel. Volker en vient à penser que les terres du nord doivent véritablement être maléfiques pour changer les gens à ce point. Cela fait quelques jours que nous sommes revenus de Fei’Yin et les personnes importantes de Bastok n’ont cessé d’aller et venir dans les forges, sans doute pour discuter de la suite des événements. Finalement, c’est à notre tour d’être convoqué par le président Karst. Étrangement, nous sommes les seuls présents dans la pièce. Il nous informe qu’il s’agit d’une mission qui doit se dérouler dans la plus grande discrétion et que Volker nous rejoindra rapidement. Le président nous invite à nous rendre dans ses appartements afin de pouvoir parler à l’abri des oreilles indiscrètes. Comme le pestait le président auparavant, le sénat refuse de laisser les mousquetaires quitter l’enceinte de la ville et enquêter sur l’éveil du Shadow Lord. Karst reconnaît bien humblement que cette enquête n’apporterait rien à Bastok et que toute la cité, lui compris, a toujours fonctionné en cherchant les bénéfices à gagner. Mais la menace est trop grande, il ne peut rester sans agir. C’est à ce moment-là que Volker nous retrouve. Le président le somme de nous donner toutes les informations qu’il détient sur le Château Zvahl afin que nous puissions nous y rendre au plus vite. Nous pensions que la région de Fauregandi où se trouvent les ruines était déjà fort isolée et gelée, mais nous n’avions jamais imaginé que l’ancien repère du Shadow Lord se trouvait par-delà le Glacier de Beaucedine. Bien qu’il ne puisse pas nous accompagner, Volker est de tout cœur avec nous. Il nous faut nous dépêcher, la moindre minute perdue pourrait être celle qui permettra l’avènement du Shadow Lord.

Lors de notre précédente expédition, nous avions déjà expérimenté le froid, la faim et la fatigue. Mais cette fois-ci, nous devons en plus combattre des monstres plus redoutables que tout ce que nous avons croisé jusqu’ici. Il était évident que le seigneur des Hommes-bêtes s’était installé dans la zone la plus dangereuse de Vana’diel. Ou alors est-ce le climat qui rend tout cela plus difficile ? Incapable de trouver une réponse précise, nous bravons le blizzard et les monstres jusqu’à atteindre les remparts du domaine du Shadow Lord. Un frisson nous parcourt l'échine à la vue du château, et cela n’a rien à voir avec le froid mordant de la région. Cette architecture effroyable, entièrement noire de jais, aiguisée dans tous les sens... Nous pourrions nous amuser du cliché si seulement nous n’étions pas seul contre des hordes d’ennemis dans l’antre même du plus grand adversaire qu’ait jamais connu l’humanité ! Le bâtiment est bien gardé, mais l’architecture est simple. Tant mieux, nous éviterons de nous perdre comme nous l’avions fait dans la Tour de Delkfutt. Nous finissons par arriver devant la salle du trône. Mais contrairement à ce que l’on nous avait dit, aucun sceau n’est en place. Nous nous rappelons alors que l’archiduc nous a appris que les dirigeants des trois grandes nations ont tous été attaqués et que le talisman de Bastok a été dérobé par un monstre. Serait-il possible que les talismans de San d’Oria et de Windurst aussi aient été volés ? Pris d’une horrible intuition, nous nous dépêchons d’entrer.

Zeid est déjà présent, comme s’il attendait quelque chose. Il pointe l’édifice de pierre au centre de la pièce en nous précisant qu’il s’agit de la tombe du Shadow Lord. Mais quelque chose ne va pas. Devant le caveau se trouvent trois paires de magicites, identiques à celles que nous avons détruites. Celles-ci commencent à entrer en résonance et à déverser leur énergie dans le cercueil. Et avant que nous n’ayons le temps de réagir, la tombe s’ouvre. Le corps du Shadow Lord se met à flotter, puis se pose sur ses pieds. Son apparence est à la hauteur de sa légende. Le Shadow Lord est un véritable colosse, faisant au moins deux fois la taille d’un Galka adulte. Il possède un exo-squelette noir duquel, par endroits, jaillissent des cristaux de couleur améthyste. Notre ennemi est bel et bien présent, devant nous. La pire des choses qui pouvait se produire s’est réalisée ! Pour la première fois, nous voyons Zeid décontenancé. Il est vrai que Volker lui-même nous a dit que Zeid est celui qui a porté le coup fatal à ce monstre. Le visage du chevalier noir amuse le Shadow Lord. Il se permet même de lui lancer une pique en annonçant qu'il ne peut mourir tant qu’il n’aura pas éradiqué tous les Enfants d’Altana.

Cette simple phrase permet à Zeid de confirmer les soupçons qui sont nés il y a de cela vingt ans. Le Shadow Lord était autrefois un Galka. C’est à ce moment-là que la conversation prend un tournant que nous n’aurions jamais pu envisager. Le colosse admet avoir été l’un des leurs il y a de cela trente ans. Il faisait partie de l’expédition multinationale envoyée sur les traces de la civilisation perdue, et fut trahi par Ulrich. Mais alors… le Shadow Lord n’est nul autre que Raogrimm ? Les visions que nous avons eues prennent alors tout leur sens ! Le Shadow Lord continue. D’après lui, Ulrich était jaloux de ses talents d'escrimeur et ne souhaitait pas la paix avec les Hommes-bêtes, contrairement à ce que le Galka s’efforçait de construire. Lors de l’expédition, Ulrich tenta bien d’éliminer Raogrimm et de faire passer sa mort pour un accident. Malheureusement, Cornelia protégea le Galka et périt. Raogrimm survécut à ses blessures mais se mit à errer dans ces terres désertes et glacées, envahit par un désir de vengeance comme jamais il n’avait connu. Il continua ainsi jusqu’à trouver une source de pouvoir inconnue. Est-ce le fruit du hasard ou bien sa soif de haine qui le guida jusque là ? Impossible de le dire. Mais ce pouvoir le changea profondément, aussi bien physiquement que moralement. Il obtint alors une nouvelle forme, et le pouvoir de diriger les Hommes-bêtes. C’est à ce moment-là qu’il devint conscient de la colère qui l’habitait. Pas un simple désir de vengeance, mais quelque chose de beaucoup plus ancien, propre à sa race : la colère des Galkas. Les autres races ne peuvent comprendre la rage qui sommeille en eux. Raogrimm plongea alors dans les flammes de la fureur et devint le Shadow Lord. C’est ainsi que nous sommes à l’origine de son éveil. C’est pourquoi il s’en prend à nous.

La Shadow Lord dégaine alors une énorme épée, croisement entre un fauchon et une faux. Il a sous-estimé Zeid il y a de cela vingt ans, mais ne compte pas reproduire la même erreur. Il l’immobilise à l’aide d’un sort et nous attaque violemment. Pris de cours, nous arrivons à peine à esquiver son attaque. Devant un ennemi de cette force, la moindre erreur peut être fatale. Son immense armure le protège efficacement des attaques physiques et magiques, mais jamais simultanément. Nous observons bien à quel moment nous pouvons porter nos coups et quand lancer des magies, et basons notre stratégie sur cette seule faiblesse. Mais le Shadow Lord est redoutable. En plus de son arme, il maîtrise de nombreuses magies de haut niveau. Cela devient compliqué de réussir à lui faire des dégâts. Nous remarquons alors les cristaux qui dépassent de sa cuirasse. Et si nous les détruisions un à un ? Peut-être que cela l'affaiblira. Hourra ! Cela fonctionne. A chaque cristal détruit, ses attaques perdent en puissance. Le dernier cristal finit enfin par éclater. Nous pensons avoir gagné, mais cela ne fait que libérer le vrai pouvoir du Shadow Lord. Sa cuirasse devient noire de jais, parcourue par d’infimes courants violets. Son aura devient étouffante. Nous avons du mal à respirer et à nous tenir debout. Pourtant notre adversaire semble être dans un état de rage pure, totalement incontrôlable. Nous analysons la situation entre deux attaques dévastatrices et remarquons qu’il ne possède plus de protections magiques. C’est le moment de tout donner.

C’est fini, le Shadow Lord est au sol. Tout du moins, c’est ce que nous pensions. Comment ?! Ce dernier se relève une fois encore ?! Nous n’avons plus la force de lui faire face. Zeid l’interpelle alors et lui rappelle qui il était. Raogrimm, l’ancien Talekeeper et leader des Galkas. Le Shadow Lord se fige à l’énonciation de ce prénom. Zeid continue son discours. Il n’est pas cette bête assoiffée de vengeance, il est son ami disparu il y a maintenant trente ans, le plus grand bretteur ayant existé parmi les Galkas. Le Shadow Lord s’attrape la tête, signe que l’esprit de Raogrimm lutte en lui. Le fantôme de Cornelia se matérialise et lui tend les bras. L’ombre du Shadow Lord disparaît alors dans un râle que nous n’oublierons jamais. Devant nous se tient alors Raogrimm, confus. Ce dernier se souvient de tout ce qu’il a fait et n'arrive pas à se pardonner ses gestes. En tant que Talekeeper, il possédait tous les souvenirs des anciens Galkas. Il y avait tellement de peine, de douleur, de colère que cela en devenait incontrôlable. Ainsi Raogrimm a chu dans les ténèbres les plus abyssales. Malheureusement, les pouvoirs du Shadow Lord ne sont pas sans conséquences pour Raogrimm. Maintenant que le seigneur des Hommes-bêtes a été vaincu, ils atteignent un point critique. Raogrimm nous prie de quitter au plus vite le Château Zvahl. Lion, qui a dû venir avec Zeid et faire le guet, nous ouvre la voie. Nous quittons la bâtisse et une explosion sans précédent se fait entendre. Un silence de mort s’ensuit. Certes, le Shadow Lord est vaincu. Mais c’est nous qui sommes responsable de sa naissance. Raogrimm n’était qu’une victime parmi tant d'autres. Nous nous consolons en nous disant que désormais, il a enfin pu rejoindre sa bien-aimée.

C’est le cœur lourd que nous rentrons à Bastok. Lion, elle, rentre chez elle à Norg sur l’île d’Elshimo. Quant à Zeid, il ne souhaite pas rentrer avec nous et repart sillonner les routes. Nous sommes accueilli en héros chez nous. Cid, Volker, Lucius et même le président Karst sont présents pour nous féliciter. Le Shadow Lord n’est plus que de l’histoire ancienne. Pourtant, la menace des Démons est toujours présente. Mais l’heure n’est pas à la mission, mais bel et bien à la fête. Cid nous prend à part pour discuter. L’inventeur souhaite que l’on garde l’implication d’Ulrich secrète à Volker. Volker admirait son oncle, et c’est ce qui l’a poussé à devenir Mousquetaire de Mithril. Volker a souffert toute sa jeunesse d’être comparé à son oncle et des rumeurs qui disent qu'il ne doit sa place qu’à la disparition de Raogrimm. Lucius et Volker nous rejoignent, et la fête reprend de plus belle.